• Etude d'une représentation animée du mouvement des électrons

     

     

    PHYSIQUE DES ONDES

    ESSAI D'UNE NOUVELLE PHYSIQUE

    RUBRIQUE N° 27     Etude d'une représentation animée du                                            mouvement des électrons

     

    Mise en page par Paul Bouchard Le 21/09/2019

     

    1) INTRODUCTION

     

    Le 25/06/2019, j'ai reçu sur mon blog ''eklablog Physique des ondes'' le message suivant :

    De Pierre **** à Paul Bouchard

    Bonjour Monsieur Bouchard. Je viens de découvrit votre blog sur la physique des ondes. Je travaille actuellement sur un projet similaire et, si cela vous intéresse, nous pourrions peut-être échanger des idées. Cordialement, Pierre. 

     

    Le 06/08/19, voici un mois et demi que nos échanges d'idées tournent autour de la conception de l'électron, c'est-à-dire qu'elles concernent précisément les bases de mon blog. Le projet de Pierre consiste à l'établissement d'un logiciel permettant une représentation réelle et animée du mouvement de l'électron. Je suis très intéressé par cette démarche. Tout en défendant la vision ondulatoire exprimée dans mon blog, j'ai donc essayé de répondre aux questions de Pierre qui sont précisément celles que je me suis posé dès le début de mon étude il y a 12 ans.

     

    Pour réaliser son projet, Pierre doit choisir une formulation mathématique du mouvement de l'électron qui exprime, au plus près de la réalité, l'énergie, les propriétés, la structure de celui-ci. Je prends alors conscience de la difficulté que j'ai à transposer la vision que je possède de cet électron en langage mathématique car ma formation en mathématique qui remonte à math-spé en 1949, a été très peu suivie et non utilisée postérieurement.

     

    D'autre part, Pierre s'est lancé dans cette tâche sans mesurer la grande complexité de la physique quantique telle qu'elle est enseignée. Il a buté notamment sur la dualité onde-particule. Notre échange de mails a donc d'abord porté sur l'ensemble des facteurs qui sont liés à cette dualité, ainsi que sur la difficulté d'acceptation par un esprit scientifique de la réalité d'un électron-onde.

     

    Ayant déroulé la chronologie de ces mails, j'ai trouvé l'ensemble de cette conversation très intéressante et instructive. Elle met en évidence l'embarras du modèle standard de la physique en face de la réalité, de même que la difficulté de conception d'une matière faite uniquement d'ondes. J'ai donc demandé à Pierre son accord pour publier cet échange sur mon blog qui reçoit une moyenne journalière de 22 visites. On peut imaginer celle d'un mathématicien spécialiste des équations du mouvement en mécanique quantique, partisan de la mécanique ondulatoire et sympathisant de la physique des ondes. Il pourrait, tel un nouveau Schrödinger, fournir à Pierre la clef de son animation. Il suffit de me contacter sur ''eklablog.fr'' par un message à lui transmettre. 

     

    Pierre a, pour l'instant, mis son projet en sommeil, mais je suis persuadé qu'il le reprendra un jour. Il doit auparavant digérer la masse d'informations qu'il a fait circuler sur son ordinateur en provenance de Wikipedia et des nombreux sites qu'il a découvert. Pour ma part, je ressens tous les jours un peu plus l'usure de mes neurones due à leur age qui passe bientôt à la dernière décennie d'un siècle. Je dois donc les utiliser avec circonspection sans les laisser se relâcher. 

     

    2) LE PROJET DE PIERRE 

     

    * Le 27/06/2019 à 14h.51 de Pierre à Paul (après un échange d'adresse mail personnelle)

     

    Voici une présentation de mon projet. J'y travaille depuis plusieurs mois quand j'en ai l'envie et du temps disponible. C'est un peu long mais j'espère que cela vous intéressera.

     

    D'abord je me présente, je suis informaticien, j'ai 52 ans et je travaille dans la conception de firmware, qui sont des logiciels pour les cartes électroniques. Je suis habitué à simuler par logiciel toutes sortes de processus. Je lis de temps en temps des articles en physique théorique car cela m’intéresse, et ils y a plusieurs mois je me suis intéressé à la théorie de Bohm, appelée théorie (BB) (pour De Broglie Bohm). Cette théorie m'a plu car elle a l'avantage de donner une existence réelle aux particules et est déterministe. Ainsi elle permet de calculer des trajectoires réelles aux particules quantiques.

     

    Notez qu'elle est assez controversée par les spécialistes, car opposée à la théorie quantique standard qui stipule que les particules n'ont pas d'existence réelles tant qu'on ne fait pas une mesure. (superposition d'état onde/particule). Et qui n'est pas déterministe mais intrinsèquement probabiliste (ce qui est peut être plus séduisant pour l'esprit). Cependant, après avoir passé du temps à vérifier que cette théorie n'a pas été invalidée, il s’avère que non, et qu'elle donne exactement les mêmes résultats que la théorie standard. Seule l'interprétation des phénomènes physiques est différente.

     

    Satisfait de cela, je pouvais envisager de faire un programme graphique avec une animation des trajectoires des particules. Dans un premier temps j'ai étudié comment tracer en 3D les trajectoires des électrons sur les orbitales atomiques.

     

    Mais j'ai mis ça de coté pour le moment car trop complexe, et nécessite de travailler dans l'espace avec comme conséquence des besoins en calculs très lourds pour un ordinateur standard.

     

    Alors je me suis intéressé à l'expérience des fentes de Young. Cette expérience garde toujours un coté mystérieux pour la théorie quantique standard. Car si on fait la diffraction d'électrons en les envoyant un par un, on ne sait jamais par quelle fente l'électron passe, il semble passer par les deux fentes en même temps, dans un état ondulatoire, et se matérialiser dans un état corpusculaire lorsqu'il atteint l'écran. 

     

    Avec la théorie (BB) c'est beaucoup plus simple. L'électron est toujours sous forme matérielle. Il affecte un champ local et est affecté par lui réciproquement. Ainsi sa vitesse dépend du gradient de ce champ. Lors de son déplacement dans cette expérience il peu changer de direction en passant dans une des fentes à cause de la diffraction des ondes du champ local au niveau de la fente, et ensuite après avoir passé la fente, par des interférences dans le champ local avec les ondes passant par la seconde fente. Au final le résultat est identique que celui obtenu avec la théorie standard, mais s'explique de manière simple.

     

    J'ai donc commencé ce programme, cela avec une approche particulière. Je suis surtout intéressé par les phénomènes physiques les plus élémentaires qui pourraient générer un résultat correct (en me disant qu'ils pourraient peut être représenter la réalité). Je recherche donc plutôt à simuler l'espace avec des lois simples, plutôt qu'établir de grosses équations différentielles. (qui de plus sont spécifiques en fonction des conditions d'expérience).

      

    Puisque le champ à simuler est quantique et que les phénomènes naturels élémentaires doivent être simples, j'ai pris comme contrainte de programmation de:

    - n'utiliser que des nombres entiers (entité indivisible).

    - n'utiliser que des opérateurs simples (additions, décalages binaires), en supposant que la nature ne fait pas des calculs trigonométriques ou exponentielle en temps réel, mais qu'il se produit juste des phénomènes de transfert par interaction.

     

    Simuler l'espace implique de simuler chaque quantum d'espace par quantum de temps. La résultante doit donner par intégration le même résultat (ou approchant) qu'une équation différentielle qui décrit l'évolution du système.

     

    Lorsque j'ai commencé à définir la structure du programme, les problèmes suivants se sont posés : 

    1/ Essayer de simuler l'espace sur une distance de Planck est impossible, car celle ci est bien trop petite et nécessiterai un ordinateur avec une quantité de mémoire et une puissance de calcul qui serait vertigineuse. (même pour simuler un seul atome d'hydrogène!)

    2/ La relativité (utilisée dans la théorie (BB), dérivée de l’équation de Schrödinger), qui implique que l'espace et le temps se déforme, présente un problème calculatoire de simulation.

     

    Sur un ordinateur on peut naturellement représenter une surface ou un volume en utilisant un tableau de mémoire. Les index du tableau permettent d'accéder à un endroit précis de la mémoire qui, lui, représente un endroit précis de l'espace simulé. Si l'espace se déforme, la gestion des index deviens problématique. Idem pour le temps, on peut simuler un quantum d'action, représentant l’exécution d'une procédure appliqué sur un quantum d'espace. Par contre, simuler une partie non entière de l’exécution de chaque quantum d'action pour chaque élément de l'espace, est un problème impossible en pratique.

     

    Le point (1) précédent n'est pas vraiment un problème. Je pense utiliser des dimensions beaucoup plus grandes que la distance de Planck, et j'espère que cela n'influera que sur la précision de la simulation qui restera proche des résultats théoriques. Cela fonctionne généralement bien dans les simulations numériques.

     

    Le point (2) est plus délicat. Et c'est en essayant de résoudre ce problème là que je me suis dit qu'il serait beaucoup plus facile d'avoir un espace non déformable et un temps fixe, et qu'il faudrait modifier l’équation de Schrödinger, en utilisant un espace/temps fixe, cela en adaptant d'autres termes afin de garder la cohérence de l'équation.

     

    Je suis alors reparti sur Wikipédia et les équations de Lorentz, et j'ai fait des calculs et des graphiques, un travail pas simple. En faisant des recherches sur internet je suis tombé sur le site de Mr Lafrenière. Je me suis rendu compte qu'il avait étudié le sujet en modifiant les équations de Lorentz, et qu'il utilisait un espace indéformable et un temps propre. Parfait pour mon problème, son travail m'a bien simplifié les choses.

     

    Je me suis mis à lire son site, et j'ai d'abord été surpris par son style d'écriture très direct. Mais ensuite finalement je le trouvais sympathique et j'aimais bien ses argumentations, même si cela n'est pas très clair pour moi et qu'il est pas toujours évident de suivre son raisonnement. J'ai étudié une partie de ses programmes. Suite à cela j'ai fait une première version de mon programme pour les fentes de Young. Voici une image issue de mon programme :

     

    Etude d'une représentation animée du mouvement des électrons

     

    La source actuelle est un simple générateur sinusoïdal. Celle ci affecte une seule cellule de l'espace. Maintenant, pour progresser dans mon projet, il faut que je remplace cette source par un générateur d'électrons qui vont être projetés un par un dans une direction aléatoire sur la droite afin de traverser ou pas les fentes de Young. Je vais pouvoir tracer la trajectoire de chaque électron si j’admets que celui ci a une réalité physique, en me basant sur la théorie (BB). Il faut donc que je fasse le choix de la modélisation de l'électron.

     

    Mon électron actuel est défini par une source sinusoïdale, il affecte une seule surface de Planck à un temps t et a en fait une surface nulle, ou alors une surface de Planck quasi nulle. Il est une entité indépendante du champ. Ce n'est pas le champ qui crée l'électron. Si je veux le déplacer, il doit posséder des propriétés internes, un vecteur vitesse, une énergie. C'est vraiment très simple, je suis parti de l’hypothèse de De Broglie sur la nature vibratoire de l'électron dans sont référentiel propre, mais je ne sais pas encore si cela va convenir.

     

    Etude d'une représentation animée du mouvement des électrons

     

    Cependant j'avoue être séduit par l'électron de Mr Lafrenière, car il a les propriétés suivantes :

    - Il est généré par le champ (c'est une configuration du champ qui le définit), ce n'est pas une entité séparée (enfin si j'ai bien compris), ce qui rend les choses plus simples, car de ce fait on n'a pas à se poser de questions sur sa structure et sont fonctionnement.

    - Il pourrait être compatible avec la théorie quantique standard en se matérialisant spontanément à un endroit suite à des interférences dans le champ local.

     

    Par contre il y a plusieurs points que je n'ai pas compris ou qui n'ont pas été abordées par Mr Lafrenière, et j'aimerais en discuter avec vous si vous voulez bien. Si on suppose que son électron est uniquement défini par le champ, je ne comprends pas le déplacement par effet Doppler.

    Pour moi l'effet Doppler est une conséquence du déplacement, et non la cause ? Comment lui donner un vecteur vitesse ? Comment fait il pour subsister dans le temps sans se diluer ?

    Mr Lafrenière parle d'effet loupe et de pression de radiation, je ne comprends pas ce qu'il veut dire.

    Sur ce point j'ai repris un de ses programme que j'ai réécrit en langage C, afin de pouvoir suivre son exécution en mode pas à pas. Voir l'image ci-dessous :

     

    Etude d'une représentation animée du mouvement des électrons

     

    Une autre remarque aussi. D'après Mr Lafrenière, la distinction entre électron et positrons (et quarks), ne se fait que sur la différence de phase à un instant t précis (un temps global). Ce qui veut dire que toutes les électrons de l'univers ont parfaitement la même phase, et que toutes les autres particules (positrons, quark), ont tous un décalage de phase précis en multiple de pi/2. Cela est troublant car cela impliquerait un système de synchronisation (encore une propriété du champ), ou alors un générateur de phase commun pour la création de toutes les particules.

     

    Voila tous mes questionnements. Peut être avez vous des idées ou des réponses. Je serais très heureux d'en discuter avec vous. Cordialement. Pierre

     

    3) DÉVELOPPEMENT DE L’ÉCHANGE DES IDÉES SUR DEUX MOIS

     

    * Le 27/06/2019 à 18h.44 Réponse de Paul

     

    Moi c'est Paul. Votre projet est très intéressant parce-que vous partez avec de bonnes idées et de bonnes sources. Également grâce à vos connaissances mathématiques pour la conception de logiciels et la programmation. Bohm et de Broglie n'ont pas été écoutés ni suivi et pourtant, avec Schrödinger, c'est eux qui avaient raison. La physique théorique ne s'est pas remise droite depuis 100 ans. Vous pouvez lire à ce sujet ma rubrique N°4 ''Ondes et matière. Un historique (1750-1930)''.

     

    Pour ce qui concerne G.Lafrenière, sa conception de l'électron diffère de la mienne. Pour mieux comprendre vous pouvez lire ma rubrique N°14 ''Structure et énergie de l'électron''. Vous avez raison concernant Dopler. Si j'ai bien compris, vous travaillez les mêmes sujets que J.Marcotte et P. Delmotte. Le style plus que ''très direct'' de G. Lafrenière lui a porté un grand tort. Son site a été mis à l'index. Il ressort depuis son décès en 2012.

     

    Les premiers chapitres de mon blog sont consacrés à l'exposé de mes hypothèses, elles ont été éditées en 2013. Depuis, j'ai voulu confronter mes idées aux découvertes les plus récentes. La rubrique N°25 est ''La grande unification des forces fondamentales''. La rubrique N°26 que je vais prochainement éditer porte sur ''Matière et énergie dans l'univers''. Vous me semblez intéressé par la réalité des faits, c'est également la ligne de conduite de ma réflexion. Si vous partez sur la trace de l'électron, vous irez loin. Oui, c'est l'électron qui crée le champ. C'est lui qui est LA particule élémentaire. Il fait le lien entre l'énergie et la matière. C'est une interférence de deux ondes.

     

    Décalage de phase des particules, effet loupe, c'est des ondes, c'est du Lafrenière, je n'ai pas tout compris. Pression de radiation, c'est de la mécanique ce n'est pas des ondes. Cordialement. Paul

     

    * Le 27/06/2019 à 19h.52 de Pierre à Paul

     

    Merci Paul pour votre réponse. Je vais lire vos articles. J'aurais sûrement des questions à vous poser. A bientôt. Pierre.

     

    * Le 28/06/19 à 16h.46 de Pierre à Paul

     

    J'ai lu une partie de vos articles pour le moment. Je m'intéresse surtout à votre structure de l'électron, mon but étant de simuler celui ci. Celui de Mr Lafrenière me pose les problèmes suivant : 

    - Je ne vois pas le moyen de le faire persister dans le temps. (pour qu'il ne se dilue pas), sauf si je lui donne un existence indépendante du champ, ce qui pour moi, dans un premier temps, réduit sont intérêt.

    - Je ne voit pas non plus comment le dévier par un champ électrique ou magnétique.

     

    A noter que, pour le moment, je ne voit pas comment définir un champ magnétique ou électrique dans le médium (Éther de Mr Lafrenière). Le médium actuel me semble définir l'énergie de masse. Celle ci augmentant avec la vitesse (par augmentation de la fréquence et de l'amplitude dans le sens du déplacement). A moins que le potentiel électrique soit une propriété émergente du champ initial, mais ça serait vraiment étonnant.

     

    Donc pour le champ électrique, je pense qu'il faudrait superposer avec le champ de base un second champ. Par contre, si l'électron n'est pas une particule indépendante, le seule moyen d’interaction qui reste est de faire interagir les 2 champs ensembles, qui sont de nature différente. Il faut réussir à trouver les lois d’interaction locales (à en endroit local de l'espace, dans un volume élémentaire), pour générer les propriétés correcte de l'électron et en conservant l'énergie. Pas simple à mon avis.

     

    J'essaye donc de comprendre votre modèle d'électron pour voir si il peux mieux convenir que celui de Mr Lafrenière. D'après ce que j'ai compris, votre électron serait structuré (et entretenu ?) par l'interférence entre deux ondes:

    - 1/ Une onde longitudinale de type lumière.

    - 2/ Une onde de type gravitationnelle. (générant un champ magnétique transversal).

     

    C'est ce que vous écrivez dans la rubrique 14. J'avoue n'être ni d'accord ni pas d'accord, car je ne comprends pas cette description qui est très courte. Auriez vous une page avec plus de détails ? (avec quelques graphiques ?) Je ne comprends pas plusieurs points, peut être est-ce juste une question de langage. Vous parlez d'une onde longitudinale, que voulez vous dire ? Longitudinale par rapport à l'onde gravitationnelle ?

     

    Si c'est cela, est ce que vous voulez parler de l'interférence entre des ondes progressives de type lumière et des ondes progressives de type gravitationnelles se croisant perpendiculairement ? Il faut définir un mouvement pour pouvoir définir des directions et un angle d'intersection. Concernant le champ magnétique, c'est alors un troisième champ. Dans ce cas si on résume, on aurait 3 champs scalaires superposés dans l'espace, ou une seul champ vectoriel à 3 composantes, ce qui est équivalent :

    - 1 champ de type lumière (définissant l'énergie de masse ?)

    - 1 champ de type gravitationnel (définissant quelle unité ?)

    - 1 champ magnétique (définissant une valeur en Tesla ?)

     

    Est-ce correct ? Comment est définie la charge électrique ? Un dernier point concernant le photon. Comment concevez vous le photon ? Peut-il à haute énergie générer un électron ? Il me semble que c'est possible dans les accélérateur de particules, mais je ne me suis pas renseigné sur le sujet. Merci pour votre réponse. Cordialement. Pierre

     

    * Le 29/06/19 à 00h.10 de Paul à Pierre

     

    Mon électron n'est pas celui de Lafrenière. La ''substance de l'espace''(S.E.) de Micalef n'est pas l’éther. La lumière est une onde longitudinale faite de (S.E.) qui circule dans la (S.E.). La vitesse de la lumière et le quantum de mouvement (le dit photon) sont des propriétés de la (S.E.). L'électron est LA seule particule de matière qui est ''fabriquée'' (en série) dans le disque d'accrétion des étoiles naissantes, à la suite du choc d'une onde de type lumière sur le plasma du disque. Celui-ci donne à l'électron le mouvement transversal, ''l'onde de structure'' qui le constitue ''particule de matière''.

     

    Tout cela est décrit dans les premiers chapitre de mon blog et compose les hypothèses de base de la physique des ondes. Toutes les particules de matière sont formées d'électrons, y compris tous les nucléons. Il n'existe pas d'autres ''champs'' qu'électromagnétique, créé par l'électron en mouvement. Au repos c'est une onde-disque qui ''spine'' (origine du champ magnétique), mise en mouvement (énergie de type lumière), c'est un vortex. C'est la même onde qui tourne, à gauche ou à droite suivant que c'est un électron ou son antiparticule le positron. Pour intégrer tout cela, il faut accepter de laisser de coté la physique des champs et le développement des particules du modèle standard. Seul subsiste les bases de la physique quantique et l'ensemble de la structure de l'atome. La rubrique N°14 n'est qu'un résumé, si vous voulez comprendre, sinon admettre, il faut pénétrer les premiers chapitres du blog.

     

    La prochaine rubrique N°26 qui va bientôt paraître peaufine certains détails concernant l'électron au repos. La N°24 parle entre autres de l'énergie de masse, de la notion de charge et des accélérateurs de particules. La N°25 parle aussi des forces de gravitation et électromagnétiques. C'est tout un ensemble qui est construit à partir d'hypothèses ayant pour origine la notion d'électron-onde initiée par de Broglie et mise de coté en 1925. Bon courage si vous êtes encore intéressé. Cordialement

     

    * Le 29/06/2019 à 09h.14, de Pierre à Paul

     

    Bonjour Paul, merci pour vos réponses. Je gardes toutes ces idées en tête. C'est toujours intéressant d'avoir la vision de quelqu'un d'autre. J'irai voir les premiers chapitres de votre blog pour avoir plus de précisions sur votre électron. Il faudrait pour bien faire  que je lise aussi Mr Micalef, ce qui demande beaucoup de temps. Je vais essayer de faire une synthèse de toutes les idées que j'ai pu lire jusqu'à maintenant. Bonne journée. Pierre

     

    * Le 29/06/19 à 19h.05 de Paul à Pierre

     

    Bonjour Pierre. Oui, vous avez raison. Il vous faut lire J.J.Micalef. Il a d'excellentes idées, un solide raisonnement, des connaissances certaines en astrophysique, un esprit critique beaucoup plus raisonnable que G. Lafrenière, mais le même genre de ''suffisance'' scientifique. Il n'approuve pas mes idées sur l'électron et m'a reproché d'avoir utilisé le mot ''substance de l'espace'' qu'il appelle maintenant ''prématière''. Il a d'ailleurs revu en partie son site après l'édition du mien. Je ne recherche pas son contact.

     

    Il est important pour vous d'avoir une vision personnelle sur l'électron avant de procéder au travail dont vous m'avez parlé. C'est un vrai challenge étant donné le dilemme ''onde ou/et particule'' qui n'a jamais été officiellement réglé. Cordialement. Paul

     

    * Le 01/07/19 à 12h.25 de Pierre à Paul

     

    Oui, vous avez raison, j'essaye d'avoir ma propre vision avant de continuer. Onde pure entretenue par un phénomène à imaginer, ou entité liée à une onde ? J'avoue que l'onde pure me plaît plus par son coté esthétique et sa simplicité structurelle. C'est surtout ça qui m'a attiré sur le site de Mr Lafrenière. Elle résout certains problèmes et en pose d'autres. La particule simplifie les interactions, suivant ma façon d'aborder les choses, mais pose le problème de savoir en quoi elle est faite, qu'est ce qui la fait fonctionner.., ce qui crée un nouveau problème peut être aussi difficile que l'initial.

     

    Quand à moi je fait uniquement cela par curiosité, pour faire de beaux graphiques et me faire ma propre idée de la physique. Il faut dire que le modèle standard n'est pas très satisfaisant, je trouve. Il permet seulement de faire des calculs de probabilité et s'interdit de donner une explication des phénomènes subjacents. (Tenter de le faire est mal vu par les physiciens professionnels).

     

    Pourtant ce niveau fondamental doit bien exister, et c'est le plus intéressant je trouve. Peut être il fonctionne avec seulement quelques lois simples qui font tout émerger, comme par exemple pour les images fractales. Peut être ces lois seront trouvées un jour ? Peut être jamais s'il nous manque les concepts pour les imaginer. Selon moi ce niveau fondamental doit inclure l'explication de son existence et exister par évidence parce qu'il n'y a pas d'autres possibilité. Je penche pour un système d’interaction d'un ensemble de données, mais alors sous quelle forme ces données existent elles, et qu'est ce qui produit l’interaction...? L'univers est un vrai mystère.

     

    On peut aussi parler de la conscience qui (peut être), émerge uniquement du traitement d'informations effectué par la matière, ce qui est encore un autre mystère. Ou alors la seule réalité est la conscience, tout le reste n'est qu'une illusion générée par un système qui nous est hors de portée. Enfin voila, je me suis un peu égaré, mais ça fait toujours plaisir d'exprimer ses idées.

    Bonne journée. Pierre.

     

    * Le 01/07/19 à 17h.35 de Paul à Pierre

     

    Oui, l'univers est foncièrement mystérieux. Pourquoi il y a quelque chose plutôt que rien ? D’où vient cette force de vie qui fait naître, grandir et mourir ? Pourquoi l'homme peut-il se poser ces questions ? Aurons-nous un jour la possibilité de répondre, ou au moins un début de réelle connaissance ?

     

    Onde pilote ou onde pure ? de Broglie a été obligé de composer et depuis, personne ne veut (ne peut) aller à l'encontre du compromis. En plus, ça ne gène pas pour travailler sur des théories, pour écrire des thèses et même pour découvrir de nouveaux phénomènes qui sont habilement incorporés et utilisés pour confirmer le standard. Il suffit de parler le bon langage, et de ne pas faire de vague. De toute façon la réalité mercantile est laissée aux techniciens qui sont ''des vendus'' aux États et aux industriels. Les vrais scientifiques, eux, sont contraints de se débrouiller avec de maigres crédits de recherche. Ils peuvent, par contre, alimenter les médias en articles de science-fiction ou en conférences ''je sais tout''.

     

    Ce dernier paragraphe est très exagéré, c'est un coup de chaud. J'ai 31°6 chez moi, l'orage salvateur tarde à arriver, j'espère qu'il ne sera pas aussi dévastateur que mes écrits. Je vais éditer cette semaine ma rubrique N°26 qui approfondit certaines questions que vous vous posez. Cordialement, Paul

     

    * Le 02/07/2019 à 11:14 de Pierre à Paul

     

    Oui je vois qu'il fait chaud, moi je suis dans le Nord alors c'est un peu plus supportable mais quand même 28°. Effectivement l'onde pilote n'est déjà pas très orthodoxe, mais l'onde pure encore moins.

    Cependant vous soulevez une question importante, pourquoi y a il quelque chose plutôt que rien ?

    Je n'ai jamais envisagé de réfléchir à cette question, préférant laisser ça aux philosophes. Cependant elle peut avoir un intérêt majeur en physique.

     

    Supposons qu'on arrive à démontrer qu'il y a quelque chose parce-que le ''rien'' est impossible. Alors ce quelque chose qui doit obligatoirement exister serait peut être au niveau fondamental de la physique. Je vais essayer de me pencher sur la question, mais je doute d'aller très loin. Bonne journée. Pierre.

     

    * Le 02/07/19 à 11h.59 de Paul à Pierre.

     

    Je suis très content car je viens de réussir, avec moins de difficultés que d'habitude, à éditer sur eklablog ma rubrique N°26 ''Matière et Énergie dans l'Univers''. C'est précisément ces deux ''choses'' qui se trouvent au niveau fondamental de la physique et de la vie. Ces ''choses'' donnent obligatoirement une consistance au ''rien'' de l'univers (au vide de l'espace). J.J.Micalef a nommé ce ''rien'' la substance de l'espace puis la ''prématière''. Sans être philosophe, ni scientifique, un simple humain a la possibilité, et le devoir, de se poser des questions sur ces sujets. J'ai tenté de répondre dans mon blog avec mes propre idées au chapitre N°6 ''Le sens de la vie''.

    Quel sens donnez vous à ''l'onde pure''?

    Hier soir nous avons eu un bel orage, des trombes d'eau mais pas de grêle chez nous (environ de Lyon). La température est descendu à 20-25 mais les appartements restent à 28 malgré les ventilateurs à cause des meubles, livres et tapis qui gardent la chaleur. Cordialement. Paul

     

    * Le 02/07/19 à 20h.20 de Pierre à Paul

     

    Félicitation pour votre nouvelle rubrique. J'irai la lire dès que je peux, ainsi que la rubrique n°6.

    Par ''onde pure'' je veux dire que la particule est juste une configuration (forme particulière) de l'onde à un endroit localisé de l'espace, et non une entité à part. C'est l'électron de Mr Lafrenière.

    Pour Bohm, l'électron est toujours une entité à part.

    Pour le modèle standard, c'est variable, passant d'un état onde, à état d'entité (particule), ou étant dans un état intermédiaire entre les deux, lorsque par exemple il passe dans les fentes de Young (c'est l'interprétation la moins logique des trois je trouve).

     

    J'ai commencé a essayer de démontrer que le ''rien'' ne peut pas exister. Je pense que ça n'est pas démontrable. Par contre démontrer que le ''quelque chose'' est obligatoire l'est peut être. Je cherche des idées. Bonne soirée, avec un peu de fraîcheur pour vous j'espère. Pierre

     

    * Le 03/07/19 à 0h.59 de Pierre à Paul

     

    Bonsoir Paul. Je viens de terminer la lecture de votre dernière rubrique n°26 Matière et énergie dans l'univers. C'est très intéressant. Je ne comprends qu'une partie de vos explications, car je n'ai pas encore lu vos précédents articles, ni ceux de Mr Micalef. L'ensemble me semble cohérent. J'aime bien l'idée de l'interaction entre deux ondes. (mais je n'utiliserait pas le mot ''interférence'' normalement réservé à l'interaction d'ondes de même nature, à moins de considérer les ondes magnéto-gravitationnelle et lumière de même nature).

     

    La partie décrivant la structure de l'électron est difficile à comprendre. Il faudrait que je lise votre rubrique n°4. Il faudrait que j'étudie les propriétés de vos ondes ''magnéto-gravitationnelles''. J'avoue que pour un physicien traditionnel, cela doit sembler exotique si il n'a pas lu vos articles précédents.

     

    Lorsque vous dites : << En outre, l'astrophysique, telle qu'elle est enseignée, est très souvent contredite par les observations des astronomes et les relevés des radiotélescopes, sans que les théories en usage ne soient en rien modifiées. >> Je ne savais pas cela, je pensais qu'au contraire les observations en contradiction avec les théories établies étaient très rares, et surtout précieuses car elle permettent justement de valider les nouvelles théories.

     

    Vous semblez être en désaccord avec la théorie du ''big-bang''. Pourtant les observations semblent la confirmer. Personnellement je trouve cette théorie crédible, par contre je pense pas qu'avant il n'y avait rien. J'aime bien votre référence à Einstein et sa phrase "J'aimerais juste savoir ce qu'est un électron''. Il avait le don de dire des phrases qui restent.

     

    La définition de l'électron de Milo Wolff est très intéressante, c'est effectivement ce que génère Mr Lafrenière dans son code source de simulation. Il faudrait que je lise aussi le site de Mr Milo Wolff afin de savoir pourquoi il est arrivé à ce modèle.

     

    Lorsque vous dites : << L’électron est le lien entre matière et énergie >> Cela ne me semble pas clair, car d'après vous l'électron est lui même l'élément de base de la matière, et aussi le lien entre matière et énergie. Concernant le concept d'énergie, celui ci ne me pose aucun problème, c'est l'expression d'une quantité d'interactions.

    Votre définition ''L'énergie est un concept créé pour quantifier les interactions entre des phénomènes physiques'' est identique à la mienne. Ce concept est normalement clair pour un informaticien et définit la quantité d'opérations qui peut être effectuée par le processeur de l'ordinateur. (et donc la quantité de transformation des données.

     

    On a l'équivalence

    énergie => opération processeur (calcul, lecture/modification de la mémoire)

    matière => mémoire.

     

    Si je continue je vais sûrement passer mes vacances à faire de la physique. Il faut que j'aille dormir maintenant. Cordialement. Pierre

     

    * Le 03/07/19 à 11h.54 de Paul à Pierre

     

    Bonjour Pierre. Un grand merci pour vos observations qui montrent votre ouverture d'esprit en même temps que votre connaissance des principes et termes de la physique. Je ne dis pas cela pour vous flatter mais parce-que, malgré les 27.000 visites reçues à ce jour, je manque de correspondant crédible. Je ne reçois aucune injure comme certains sur leur site... mais aucune critique non plus, ou question de celles qui font progresser...Un vrai physicien ne peut se permettre de discuter avec un ingénieur, ce serait ridicule et cela peut même devenir dangereux pour sa réputation.

     

    Pour comprendre la structure de l'électron, il faut lire les premiers chapitres du blog et la rubrique N°1. La N°4 est un historique qui décrit l'évolution de la physique, la révolution quantique, le dilemme onde ou particule, et la dérive des champs. La notion de substance de l'espace de J.J.Micalef est importante à prendre en compte. Ma réflexion sur l'astrophysique provient de l'étude des commentaires du site J.J.Micalef ainsi que des découvertes et événements récents qui remettent en cause l'astrophysique traditionnelle.

     

    J'ai longtemps hésité avant de parler d'interférence entre deux ondes, en fait c'est la même onde qui tourne. L'interférence a lieu lors de la ''fabrication'' des électrons (de la matière) dans l'étoile naissante. La vraie ''nature'' des ondes c'est la ''substance de l'espace'' (S.E.) qui existe forcément, car la lumière qui est une onde, a pour circuler, nécessairement besoin d'un support. Celui-ci, dont nous sommes fait, nous restera probablement inaccessible car on ne peut le voir de l’extérieur.

     

    Mais ''l'origine'' de l'onde, c'est le double mouvement (longitudinal et transversal) que l'on peut baptiser ''énergie et structure'' mais il s'agit dans les deux cas d'énergie. Toute la palette de fréquence existe dans le premier cas, ce sont les THF dans le 2ème cas (rotation).

     

    Le big-bang fait partie de ces théories qui se tiennent ''par la queue'' et qui sont très discutables bien que nécessaires pour maintenir debout ''la boutique''. La lune rougit lorsqu'elle se couche sur l’horizon (le soleil aussi). Cela ne veut pas dire qu'elle s'éloigne de la terre.

     

    Mais oui, l'électron EST la matière, il représente l'énergie ''lumière'' (disons électrique) lorsqu'il est en mouvement, il EST l'énergie ''structure'' (disons magnéto-gravitationnelle), même lorsqu'il est au repos dans son atome au repos.

     

    Remarquez bien que les '' '' sont de moi, mais que les << >> sont des citations, très souvent de Wikipédia, mais des auteurs (indiqués) chaque fois que je peux.

     

    Einstein est un espiègle et un malicieux. J'ai réussi à accéder à certains de ses textes originaux. Il était, de par sa situation au bureau des brevets, en liaison avec les scientifiques à un moment charnière. Il a tout dit et son contraire, mais il posait les bonnes questions et servait d'intermédiaire en faisant avancer les idées.

    En vacances il faut faire de la physique le jour et dormir la nuit (rêver aussi). Cordialement. Paul

      

    * Le 03/07/19 à 14h.11 de Pierre à Paul

     

    Bonjour Paul. Moi aussi j'aime bien échanger des idées en physique. Je n'ai qu'un collègue qui s'y intéresse un peu, mais juste pour discuter, ça reste très superficiel. Je pense qu'il y a deux types de lecteurs, ceux qui sont curieux, qui recherchent l'idée générale ou l'esthétique de la théorie, et ceux, plus techniques, qui ne sont pas satisfaits avec les théories en cours et qui cherchent d'autres explications, (ils sont peu nombreux je crois).

     

    Les premiers ne vont pas passer beaucoup de temps à étudier la théorie, une image descriptive simple leur suffira. Pour les seconds, il leur faut une description technique détaillé afin qu'ils puissent vérifier la cohérence (avec des formules, graphiques). Et votre théorie est en lien avec celle de Mr Micalef. Alors une personne arrivant sur votre blog doit aussi lire la théorie de Mr Micalef pour comprendre, ce qui prend beaucoup de temps avant de pouvoir échanger des idées précises sur votre modèle, ce qui restreint beaucoup le nombre de personnes.

     

    J'ai lu votre rubrique n°4. Elle est intéressante aussi, cependant elle n'est pas assez technique pour décrire l'électron. Mais vous me dites que c'est la N°1 qu'il faut lire d'abord. C'est logique. Cependant j'y ai lu une information importante. Vous parler de la (S.E) avec une vitesse maximale et un quantum de mouvement minimum. J'ai exactement le même modèles dans ma simulation informatique du champ (qui pour moi est un champ de propagation de l'information). Car comme je vous l'avais déjà mentionné dans un de mes précédent mail, je travaille uniquement avec des nombres entiers.

     

    La notion de quantum de mouvement est très importante, et a des implications sur la nature possible de l'électron. Si on considère l'électron comme une particule, alors un problème se pose lors de son déplacement dans un espace quantifié. Imaginez un déplacement à 0.95c, il faut alors que sur 100 temps élémentaires, la particule se déplace 95 fois d'une unité d'espace et reste 5 fois sur place. La vitesse n'est pas constante. Quelle mécanisme peux générer cela ? A quelle moment la particule décide de faire une pause dans le déplacement ? J'y ait réfléchi, en informatique c'est simple à faire, mais avec un système physique, je n'ai pas encore d'idée sur le mécanisme. De plus cela implique de conserver des variables ''internes'' pour chaque particule.

     

    Cependant si la particule est une onde, le problème devrait pouvoir se résoudre plus simplement. Si cela vous intéresse, je vous envoie un petit programme sur les ondes.

    Voici la page web (fonctionne sous Windows) : http://pierrel5.free.fr/web_phy/vfield.html

    J'essayerai de la lire la rubrique 1 ce soir. Cordialement. Pierre.

     

    * Le 03/07/19 à 15h.52 de Paul à Pierre

     

    Bonjour Pierre. Ne soyez jamais satisfait. Il y a toujours mieux et plus profond à trouver. Vous parler de la S.E avec une vitesse maximale et quantum de mouvement minimum. Mais oui c'est ça l'idée géniale de J.J.Micalef : attribuer ces caractéristiques à la (S.E.).

     

    La notion de champ n'est qu'une ''représentation'' de la réalité, de même que l'espace temps d'Einstein et sa ''masse'' qui courbe l'espace. La notion ''d'information'' est en lien direct avec celle de ''structure''. Je n'ai pas réfléchi suffisamment à cette liaison, mais je sais que les notions de ''vie'' et ''d'information'' sont en liaison intime. Voir à ce sujet ma rubrique N°16 qui traite de l'origine de la vie et du rôle des virus, également la rubrique N°15 ''Étude de la vie dans les cellules de matière vivante''. Vous voyez que depuis 2014 je travaille toutes ces questions le jour, souvent la nuit. La physique quantique s'accorde bien avec la notion d'onde et celle d'harmoniques, mal avec les particules et la mécanique quantique. Je n'ai pas encore regardé votre programme. Cordialement.

     

    * Le 04/07/2019 à 00:06 de Pierre à Paul

     

    Bonsoir Paul. Je suis en train de lire vos rubriques en partant du début et au chapitre 3 dans votre post-scriptum du 11/11/2014 vous dites :

     

    << Dans ce paragraphe N°3, je n'ai pas suffisamment précisé que les ondes des hautes fréquences que sont les rayons X et gamma, ne sont pas des ondes de ''type lumière'', mais bien de véritables ondes électromagnétiques, c'est à dire des électrons ou des particules alpha. >>

    Attention, ce sont bien des photons (idem pour les rayons gamma), et quand on fait une radio, on ne reçoit pas des électrons. Voir wiki ici https://fr.wikipedia.org/wiki/Rayon_X

     

    Dans le chapitre 5 vous ne donnez pas vraiment d'argument contre le big-bang.

    Si vous avez essayé mon petit programme, vous pouvez remarquer une chose. Il se crée au fur et à mesure des cycles un ensemble d'ondes stationnaires et mobiles en constante évolution. Pourtant tout cela ne résulte que de l'énergie injectée sur un seul point de l'espace pendant environ 10 secondes au lancement du programme. L'évolution obtenue ensuite dépend de la forme du signal énergétique injecté. On peux considérer ce point comme un ''big-bang''. Sa dimension est quasi nulle (1 unité d'espace (équivalent à la distance de Planck)), et il contient toute l'énergie initiale injectée dans le champ. Après cela l'énergie totale reste constante.

     

    Comme je vous le disait déjà, je trouve l'idée du big-bang réaliste. Après, savoir ce qui a crée ce ''big-bang'' est une autre question (ou si c'est un phénomène périodique).

     

    Concernant les trous noirs, vous en parlez très brièvement. Pourtant leur existence semble bien prouvée et observée. Il auraient une rôle majeur dans la création des galaxies. La plupart en possèdent un en leur centre. Personnellement je ne trouve pas leur existence impossible ni même étrange, mais j'ai encore peu réfléchi sur l'état du champ porteur des ondes en son centre quand la matière est condensée au maximum.

     

    J'ai terminé le chapitre 6. Même si j'ai une vision différente, j'aime bien votre conclusion. L'important est de faire le bien et de respecter la vie. Bonne soirée, ou plutôt bonne nuit. Pierre

     

    * Le 04/07/19 à 11h.31 de Paul à Pierre

     

    Oui, c'est vrai, je n'aurait pas dû écrire cela. L'erreur (de pensée et de langage) provient de ce que les électrons, lorsqu'ils se libèrent de leur atome, possèdent une fréquence du même ordre que celle des rayons X. Quant aux rayons gamma, ils sont tellement ''durs'' qu'ils se comportent comme des particules, c'est-à-dire des ondes électromagnétiques. J'ai voulu corriger cette phrase par la suite, puis j'ai oublié. On trouvera ci-dessous la rectification que je rédige maintenant.

     

    Vous avez dû remarquer que, dans le même ordre d'idée, je n'aime pas employer le mot ''photon''qui est trop souvent confondu avec ''grain d'énergie'' ou particule de lumière.

     

    Pour le Big-Bang, je suis pas seul à ne pas y croire. Mais je n'ai pas les connaissances suffisantes pour pouvoir en discuter. Je pense seulement que la matière sombre pourrait jouer le même rôle pour les confins de l'univers que l’atmosphère pour faire rougir la lune. D'autre part je crois au recyclage permanent de la matière (un genre de big-bang permanent). Quant à sa création (plutôt que rien), je n'ai pas eu de révélation particulière étant plus actif que méditatif.

     

    Les trous noirs, je n'ai pas étudié la question. Ne serait-ce pas une usine à fabriquer les étoiles au centre des galaxies ? Je ne connais pas l'avis de J.J.Micalef qui, sur ces questions, est mon maître à penser.

     

    Le Bien, la Vie....Je suis étonné d'avoir écrit une conclusion aussi irréaliste pour un humanité tellement décevante...L'homme me semble en mauvaise posture d'avenir, comme le furent les dinosaures. La société des insectes, pourrait bien lui succéder. Est-il besoin d'avoir un gros cerveau pour être intelligent ? J'ai été apiculteur, il existe un Esprit de la ruche, cela est une certitude. Est ce-bien là l'avenir de l'Esprit ? Le but de l'Univers ? Faut-il attendre le big-crunch pour obtenir la Parousie ? Voir les rubriques philosophiques N°18 et N°19.

     

    Je n'ai pas pu ouvrir votre animation. Je crois que mon système de sécurité m'en empêche malgré mon ordre. Votre travail devrait prouver la possibilité d'organisation spontanée de la matière suivant la théorie d'Ilya Prigogine dite des ''Structures dissipatives''. Voir mon post-scriptum N°2 ''Les structures dissipatives et l’Énergie'' qui parle entre autre de la structure de l'électron.

    Cordialement. Paul

     

    Voici le texte du nouveau post-scriptum de 11/11/2014 que je viens de rectifier au chapitre N°3 du post-scriptum du 11/11/2014 :

     

    Je précise ici l'action sur la matière des hautes fréquences d'ondes de type lumière. La fréquence des rayons X reçus correspond à celle des électrons libres des matériaux percutés. C'est la mise en résonance des électrons de la cellule photovoltaïque qui crée le courant électrique. Inversement, l'émission de rayons X pour la radiographie se fait à partir d'un tube de Coolidge dans lequel circulent les électrons. Ceux-ci émettent un rayonnement de freinage et donc permettent l'émission de rayons X pour les besoins médicaux.

     

    Les rayons gamma, eux, proviennent de la décomposition des noyaux des atomes lors de la désintégration atomique, et aussi des rayons cosmiques. Ayant une fréquence et une puissance supérieures, ils peuvent agir directement sur les nucléons des atomes. Ce sont des rayonnements dits ''ionisants'' car ils peuvent être constitués d'électrons et même de ''débris'' de noyaux d'atomes, extrêmement dangereux pour la matière vivante.

     

    Une nouvelle réflexion m'est venue également concernant les ondes de type lumière appelées à tort '' électromagnétiques''. Lorsqu'elles sont transmises par les fibres optiques en verre, elles ont, sur les transmissions par conducteurs métalliques (fil de cuivre par exemple), un énorme avantage de sécurité, car selon Wikipédia : << elles ne rayonnent aucun ''champ'', ni électrique ni magnétique >> Quel aveu !! Si on désire une transmission électrique ou magnétique, il convient d'introduire, dans le verre des fibres, des poussières métalliques dont les électrons libres peuvent conduire leurs ondes transversales magnétiques, ce que ne peuvent faire les électrons du verre qui restent fixés dans leurs atomes. Les fibres optiques normales ne conduisent que les ondes lumière, qui ne sont donc bien que de simples ondes énergétiques longitudinales, sans composantes magnétiques. CQFD.

     

    * Le 04/07/2019 à 12:04, Pierre a écrit :

     

    Bonjour Paul, Je suis en train lire le site de Milo Wolff, une image m'intéresse.

    '' Huygens Principle and the formation of the spherical In-Waves from other matter's Out-Waves''

    Son électron n'a pas une frontière discontinue comme celui de Mr Lafrenière, j'essaye de trouver pourquoi.

     

    Je suis d'accord avec vous sur l'évolution de notre monde, mais nous ne pouvons rien faire d'autre qu'espérer qu'un meilleur chemin sera pris dans le futur. Peut être l'arrivée de l'IA changera les choses, en mieux ou en pire. Difficile de le dire. Bonne journée. Pierre

     

    * Le 04/07/19 à 16h.50 de Paul à Pierre

     

    Bonjour Pierre. Sur quel site de Milo Wolff êtes-vous ? moi je suis sur : https://www.spaceandmotion.com/Wolff-Wave-Structure-Matter.htm

    Je n'y trouve pas cette image. Est-elle animée ? Que représente-elle ? Frontière discontinue... Que voulez vous dire ? Cordialement. Paul

     

    * Le 04/07/19 à 19h.00 de Pierre à Paul

    L'image est sur cette page:

    https://www.spaceandmotion.com/science-physics-wsm-wave-diagrams.htm C'est celle-ci :

    Etude d'une représentation animée du mouvement des électrons

     

    ou en 3D sur le site de G Lafreniere (mais générée par Mr Delmotte, ce n'est pas expliqué comment)

     

    Etude d'une représentation animée du mouvement des électrons

     

    * Le 04/07/19 à 23h.58 de Pierre à Paul

     

    Je trouve le site de Milo Wolff très intéressant. J'utilise la traduction automatique en Français pour une lecture plus agréable. (celui de Google fonctionne très bien)

    Il a des arguments logiques pour l'univers infini et éternel. Je vous conseille sa lecture si vous ne l'avez pas encore lu.

    https://translate.google.fr/translate?sl=en&tl=fr&u=https%3A%2F%2Fwww.spaceandmotion.com%2FMost-Simple-Scientific-Theory-Reality.htm

     

    * Le 05/07/19 à 09h.34 de Pierre à Paul

     

    Bonjour Paul. Incroyable ce que disait Aristote, pourtant 300 ans avant JC. (référence sur le site de M.Wolff)

    << Le mouvement est donc également continu de la même manière que le temps. En fait, le temps est identique au mouvement ou en est une ''essence''. >> Bonne journée. Pierre

     

    * Le 05/07/19 à 10h.01 de Pierre à Paul

     

    Étonnantes les réflexions d'Einstein, il doutait de ses travaux à la fin de sa vie.

    Copie du site de M.Wolff :

     

    Etude d'une représentation animée du mouvement des électrons

      

    Passionnant tout ça.., avec en plus un éclaircissement sur la relativité générale.

     

    * Le 05/07/19 à 10h.21 de Pierre à Paul

     

    Étonnant aussi ce que disait Schrödinger :

      

    Etude d'une représentation animée du mouvement des électrons

    Moi qui hésitait il y a encore quelque jours sur la notion de particule comme entité indépendante du champ, je n'hésite plus maintenant. La particule est définie par le champ et n'est pas une entité séparée. C'est ce qui me semblait le plus cohérent, et aussi le plus esthétique.

     

    Maintenant il reste le problème de savoir comment celle ci est entretenue dans le temps. Comment elle est déviée, comment représenter les champs électriques, gravitationnels et magnétiques, le phénomène d'intrication.., beaucoup de choses. Mais j'ai bon espoir de trouver des pistes sur le site de M.Wolff qui est très bien écrit je trouve.

     

    * Le 05/07/19 à 12h.24 de Paul à Pierre

     

    Bonjour Pierre. Merci de votre envoi de l'adresse de cet article de Geoff Haselhurst sur le site de la''vérité philosophique''. Pour une fois la traduction est correcte, car j'ai arrêté de consulter ce site étant donné le charabia qu'on y trouve. Je suis entièrement en phase avec ce philosophe sur le plan de la vérité scientifique. Il cite des textes que je ne connaissais pas, d'Einstein en particulier qui vont complètement dans notre sens des ondes contre les particules.

     

    Il développe l'idée de Milo Wolff de l'électron sphérique formé par l'interférence d'ondes ''in and out''. Dès 2008, j'avais étudié cet électron, de même que ceux de G. Lafrenière, de Serge Cabala, de Denys Lepinard, d'Edouard Bernal, de Jean Claude Villame.

     

    Je pose les questions suivantes : D’où viennent toutes ces ondes qui forment l'électron sphérique, pourquoi une sphère, pourquoi l'électron serait-il fixe, comme pris dans un tissu, comment le faire tourner (son spin), comment expliquer l'anti particule et les paires d'électrons, l'attraction et la répulsion, le champ magnétique de l'électron libre, etc...? Avec mon électron, disque au repos, vortex en mouvement, structure et énergie, je pense répondre à l'ensemble des problèmes.

     

    * Le 05/07/19 à 12h.31 de Paul à Pierre

     

    Aristote dans sa métaphysique, a repris les idées de Thalès de Millet, d'Anaximandre (l'apeiron) et de l'école d'Abdère. Lire mon Post-scriptum N°3. Cordialement. Paul

     

    * Le 05/07/19 à 12h.58 de Paul à Pierre

     

    Mais oui, vous découvrez petit à petit un nouvel horizon que nombre de scientifique veulent ignorer, ou se cachent pour lire, ou osent méchamment démolir. Comme je travaille dans la discrétion, je n'ai pas d'attaque, ni vraiment de commentaire. Je m'en contente très bien....Je suis ''exotique'', on peut donc me pardonner quelques dérapages. Peut-être que je ne dis pas trop de bêtises non plus.

     

    Einstein est remarquable car il a épousé successivement toutes les idées de ses correspondants, puis il est revenus sur les siennes après avoir confessé son erreur, puis les a modifié à nouveau, bref, c'est un scientifique de progrès (qui a fait progresser les autres). Mais on peut lui faire dire tout et son contraire.

     

    Méfiez vous , vous n’êtes pas sur le site de Milo Wolff mais sur un site limite ésotérique qui n'a de valeur que celle des articles de ses correspondants. Cordialement

     

    * Le 05/07/19 à 13h.17 de Paul à Pierre

     

    Si vous lisez le paragraphe N°712 de ma rubrique N°25 ''La grande unification des forces fondamentales'', vous verrez que la dérive de la physique a lieu entre 1926 ''Schrödinger développe la mécanique ondulatoire'', et 1926 ''Born donne une interprétation probabiliste de la mécanique quantique''.

     

    Il n'existe pas de ''champ électrique'' il n'existe que des électrons en mouvement, dans un fil électrique par exemple, ce qui crée un ''champ électromagnétique''.

    Attention vous n’êtes pas sur le site de Milo Wolff qui était un ''vrai''scientifique. Cordialement.

     

    * Le 05/07/19 à 14h.28 de Pierre à Paul

     

    La traduction est faite par le traducteur automatique de Google. Je suis impressionné par la qualité de traduction, faite par une machine, même si parfois il y a quelques petites erreurs. Merci pour tous les noms que vous mentionnez, ça fait des références à étudier. Enfin je vais me limiter à M.Wolff pour le moment sinon ça vas me prendre un an pour tout étudier. Et lire des textes est intéressant, mais ensuite il faut essayer de déduire des choses par soi-même.

     

    Oui, peut être votre électron est plus simple, mais comme je vous le disait, je cherche à faire une simulation graphique, et votre description n'est pas assez technique, je ne le comprends toujours pas, même après avoir lu vos six premières rubriques (qui sont intéressantes sur beaucoup de points). Il faudrait une rubrique plus technique qui détaille tous ses composants, avec des formules et graphiques. Par exemple pour moi une onde magnéto gravitationnelle n'évoque rien, je ne sais pas ce que c'est. Et aussi pour un vortex d'ondes, je n'arrive pas à me le représenter.

     

    * Le 05/07/19 à 14h.38 de Pierre à Paul

    Merci, je vais faire attention aux sites. J'ai trouvé le site officiel de M.Wolff.

     

    * Le 06/07/19 à 09h.38 de Pierre à Paul

     

    Bonjour Paul. J'ai lu les idée de Milo Wolff sur le big-bang et il considère comme vous que le big-bang n'a pas eu lieu et que l'univers est une bulle d'ondes dans un espace infini. Il donne une explication avec le red-shift, mais je ne la trouve pas clair, peut être je la comprendrai plus tard. Je ne comprend pas non plus pourquoi cette bulle ne s'étend pas indéfiniment. J'avais une autre question, que je trouve très importante, votre conception des lois physiques est elle déterministe ?

     

    * Le 06/07/19 à 16h.55 de Paul à Pierre

     

    Bonjour Pierre. L'homme est un être incroyablement orgueilleux, il se croit le maître et le centre du monde. Il croyait autrefois que ''notre univers'' tourne autour de la terre, il pense maintenant vivre au centre de ''notre bulle''. Il admet aussi l'existence possible d'autres univers, mais avec d'autres lois, car NOTRE Univers est spécial, c'est le nôtre qui est né à partir de presque rien il y a 13,5 milliards d'années, de créateurs dont chaque société humaine se revendique descendant directe ou l'élue.

     

    Ce ou ces ''créateurs'' ont fourni à leurs ''sujets'' des règlements et une ligne de vie qu'ils doivent suivre obligatoirement. De toute façon ils n'ont pas le choix car les lois en vigueur précisent que leur vie est déterminée à l'avance bien qu'ils se croient libres. Les bons iront au paradis les autres en enfer, à vous de choisir...Tout cela est forcément vrai puisque même la science le dit.

     

    J'ai étudié toutes ces questions anthropologiques et philosophiques en février 2017. Voir les rubriques N°18 ''De l'anthropologie structurale au monisme'' et N°19 ''De la matière à l'Esprit. De la nature et de l'origine de l'Esprit''. Dans cette dernière rubrique j'ai étudié la philosophie de Spinoza dans le texte (difficile). Il est, avec C. Lévi-Strauss, mon maître à penser.

     

    Concernant le déterminisme ''universel'', c'est une notion qui m'échappe. Je cite de Wikipédia ce que j'en connais . Si vous étudiez mes rubriques vous pourrez savoir à quel courant ma philosophie se rattache.

    << Le déterminisme ne doit être confondu ni avec le fatalisme ni avec le nécessitarisme. Le nécessitarisme affirme la nécessité des phénomènes en vertu du principe de causalité, qui fait que, dans les mêmes conditions, les mêmes causes produisant les mêmes effets, rien n'arrive qui ne soit nécessaire et qui ne pouvait être prédit de toute éternité. Si le nécessitarisme relève essentiellement de la philosophie, le déterminisme relève au premier chef de la science.....

     

    ...On distingue schématiquement le déterminisme régional et le déterminisme universel. Est régional le déterminisme qui gouverne un nombre fini d'éléments (le système boulet/obus est déterministe en ce sens : une fois donnés la force propulsive de la poudre, l'angle du canon par rapport à l'horizontale, la masse du boulet et la résistance de l'air, on peut calculer avec une très grande précision la forme et la durée de la trajectoire ainsi que, par conséquent, le point d'impact). Le déterminisme universel, parfois qualifié de « déterminisme laplacien », est problématique : peut-on considérer l'univers dans sa totalité comme un système déterministe ? Le déterminisme régional semble a priori moins problématique (de nombreux systèmes obéissent apparemment à des lois qui les rendent nécessaires).....

     

    .....L'idée du déterminisme universel fut esquissée la première fois par le baron d'Holbach. Celui-ci se distingue des nécessitaristes tels que Spinoza ou Hobbes en affirmant la calculabilité de la nécessité. Mais c'est à l'astronome et mathématicien Pierre-Simon de Laplace, que revient d'avoir affirmé le déterminisme universel dans toute sa rigueur . >> Wikipédia

     

    Le 06/07/19 à) 17h.51 de Pierre à Paul

     

    Bonjour Paul. Je parlais du déterminisme physique, qui pour moi est une notion simple car je n'ai jamais lu de textes philosophiques sur le sujet. Ce déterministe signifie que tout nouvel état de l'univers à un instant t+1 dépend uniquement de l'état à l'instant t, sans aucune introduction de hasard (causalité complète). C'est très important, car cela signifie que le passé et l'avenir sont entièrement contenu dans le présent..Alors tout ce qui se passe et se passera ne dépend que des conditions initiales lors de la création de l'univers. Cela signifie aussi que notre libre arbitre n'est qu'une illusion.

     

    Si l'univers est déterministe, alors pourquoi un éventuel créateur l'aurait t-il crée ? L'aurait il fait juste pour observer son évolution ? Ce sont des questions que je me suis posé. On peut aussi imaginer un univers qui existe depuis toujours, et donc n'a jamais été crée... notion étrange..

    Concernant le hasard, c'est quelque chose qui se produit sans cause.. notion étrange aussi..

     

    Actuellement je lis des infos tous azimuts, je commence à m'y perdre... Il vas falloir que je me pose un peu pour faire le point. J'ai quelques idées de programmes à essayer. Bonne journée.

     

    * Le 06/07/19 à 22h.25 de Paul à Pierre

     

    Si vous parlez Univers ou création ou infini ou éternel, ou même passé et avenir, je vous répond en utilisant des notions de philosophie, celles sur lesquelles j'ai laborieusement travaillé en 2017 comme je vous l'ai indiqué. Travail passé que je n'aurait ni le courage ni l'envie de refaire actuellement.

     

    Si vous parlez de la réalité physique à notre échelle macroscopique, on voit bien qu'une grande partie est programmée automatiquement et peut être prévu en fonction des conditions initiales. Mais le hasard joue toujours son rôle et permet par exemple le renouvellement des espèces ou un simple progrès ou une destruction fatale.

     

    La matière est faite d'ondes et il en faut peu pour perturber le cheminement ou la mise en résonance d'une onde. Le hasard existe bel et bien à notre échelle et même à l'échelle quantique. Pour l'Univers et les grands principes il faut consulter les grands penseurs en prenant des précautions et des réserves conséquentes en rapport de notre pensée personnelle.

     

    Oui, il est très ''étrange'' que les scientifiques du 19ème siècle, de par leur seule intelligence, aient réussi à pénétrer la connaissance de la matière jusqu’à 10 puissance -34 mètres, c'est-à-dire plus loin que ce qu'on appelle les confins de l'univers qui se trouvent à 15 milliards d'A.L., soit à 141 x (10 puissance +24) mètres. Voir la rubrique N°5 ''Les dimensions de notre monde''.

     

    On a bien le droit d'imaginer la forme d'un l'électron-onde qu'on ne verra sûrement jamais en vrai, mais les seules connaissances de cette particule sur laquelle on puisse se baser sont les effets énergétiques d'onde lumière ainsi que les effets de champ magnétique lorsque l'électron est en mouvement.

     

    Ces effets sont archi-connus, ce sont toutes les forces électromagnétique ( notre énergie de tous les jours) et les phénomènes de structure quantique chimique intra et extra atomique. Ce sont ces effets et leur quantification que vous devriez utiliser pour concevoir le logiciel qui vous permettra de donner une vie virtuelle au merveilleux électron-onde que je vous souhaite de révéler au monde scientifique. Cordialement. Paul

     

    * Le 08/07/19 à 11h.13 de Pierre à Paul

     

    Bonjour Paul. Voici une page intéressante sur Ernest Mach si vous ne l'avez pas lue :

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Ernst_Mach

     

    Il parle d'onde de choc en forme de cône. Il dit aussi : << la science marque une étape dans la tendance de l'espèce humaine à se conserver, elle ne vise donc nullement la vérité de façon désintéressée. >> Intéressant à lire. Bonne journée.

     

    * Le 08/07/19 à 18h.01 de Paul à Pierre

     

    Bonjour Pierre. Mach est surtout connu par les aviateurs supersoniques qui ''fendent'' l'air plus vite que la vitesse du son. Il l'est aussi pour son ''principe de Mach'' qui, l'air de rien, pose le problème de la relativité, de l'infini, de la notion de référentiel, etc. Lire à ce sujet le site : http://physiquereussite.fr/principe-de-mach/.

     

    Pour la'' physique des ondes'', des ondes de choc énergétiques sont à l'origine de la ''fabrication'' en série des électrons-positrons dans le disque d'accrétion d'une étoile en formation. Ces ondes (de type lumière) agissent comme l'étrave d'un bateau dans le plasma du disque. Il en résulte 2 brochettes d'ondes tournant en sens contraire, l'une de positrons, l'autre d'électrons. La suite de l'histoire au chapitre N°5. Le découpage en particules élémentaires donne une onde en forme de cône qui tourne, c'est un vortex.

     

    Cette notion de la science, exposée par Mach, comme une nécessité de conservation de l'espèce est amusante et très actuelle. Conservation ou perte suivant l'idéologie ou le caractère du bonhomme.

     

    La dite ''vérité'' est en effet loin d'être désintéressée même chez les meilleurs scientifiques.

     

    * Le 09/07/19 à 09h.22 de Pierre à Paul

     

    Bonjour Paul. Merci pour votre lien sur le principe de Mach. Votre formation d'électrons/positrons est possible avec des ondes lumineuses. C'est expliqué sur une page wiki parlant de la longueur d'onde de Compton (voir Application du principe d'incertitude)

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Longueur_d%27onde_de_Compton

     

    J'ai progressé sur le site de M.Wolff, mais j'ai un peu de mal à adhérer à ses idées. Le problème est qu'il décrit mathématiquement un comportement sans donner d'explications sur la structure physique permettant d'obtenir ce comportement, comme c'est bien souvent le cas dans les théories.

    Son électron possède une zone d’interaction non linéaire située au niveau du noyau dont le rayon dépend approximativement de la taille de l'univers.. très étrange comme explication. Cette zone module les ondes entrantes en fonction d'une fréquence de résonance de l'espace..

     

    C'est un comportement local très complexe. Il n'explique pas comment l'espace ''sait'' que la zone n'est pas linéaire, ni comment il définit localement le rayon de cette zone. Il ne décrit pas non plus comment se limite la taille de l'univers. De plus pour que son électron se maintienne il faut que les ondes entrantes soient sphériques, et à mon sens il n'y a aucune raison qu'elles le soient.

     

    Bref les maths semblent cohérents, mais le système lui même est bien étrange.

    Je pense que vais revenir sur la théorie de Bohm qui me semble plus naturelle.

     

    * Le 09/07/19 à 10h.53 de Pierre à Paul

     

    J'ai lu votre lien sur le principe de Mach. Reprenons ce principe qui est intéressant (J'aimerais bien savoir ce qui l'a conduit à établir ce principe).

    << L'inertie des objets est induite par l'ensemble des autres masses de l'univers et ce à travers une interaction non spécifiée. >>

    Le terme important est cette interaction ''non spécifiée''.

    Dans un premier temps, supposons que l’interaction non spécifiés soit une onde dans un champ spécial (à défaut d'une meilleure idée physique).

     

    Reprenons l'expérience de l'astronaute. Si l'inertie dépend de l'interaction des ondes provenant des objets lointains et de celles de l'astronaute, alors: 

    - si l'espace est vide, pas d'inertie (pas d'ondes arrivant sur l'astronaute => pas d’interaction => pas d'inertie)

    -si l'espace est non vide, alors inertie (cas inverse). Le principe de Mach peux fonctionner.

     

    Si l'inertie ne dépend pas de l'interaction d'ondes, il faut imaginer une interaction par un processus global à distance complètement inconnu (information globale reliant toutes les particules = variable globale, univers = programme informatique.. ?). Après la question du référentiel absolu est encore un jeu de théoriciens entre les pro Einstein et les autres.

     

    Si on considère qu'il n'y a pas de référentiel absolu, la rotation ne peut être définie que par rapport au référentiel d'un observateur (et du coup l'astronaute n'est plus seul dans l'univers).

    Et de ce fait, suivant l'observateur, l'astronaute tourne ou ne tourne pas. Ce qui veut dire que l'astronaute ressentirait des forces d'inertie en fonction de l'observateur qui l'observe... c'est complètement illogique.. Que le principe de Mach soit vrai ou pas..

    D'après moi la question ne peut pas se poser s'il n'y a pas de référentiel absolu.

     

    * Le 10/07/19 à 19h.36 de Paul à Pierre

     

    Bonjour Pierre. Très intéressant en effet ce principe de Mach. Il pose les principaux problèmes de base de la physique : espace vide ou plein, mouvements des objets (de la matière) dans l'espace, nature de la matière (onde ou particule), mode d'interaction des objets, définition des référentiels, position des observateurs, etc.

     

    Pour moi, l'espace (contenant) est plein de ''substance de l'espace'' (S.E.) (contenu). Le ''mouvement'' est constitué d'ondes de (S.E.) qui circulent dans la (S.E.). La ''matière'' est faite d'électrons-positrons qui sont des ondes longitudinales de type lumière matérialisées par des ondes transversales dites ''de structure''. Les modes d'interaction des particules sont celles des ondes (interférence, mise en résonance, etc.). Le référentiel absolu universel est sans intérêt car l'espace est infini. Comme des poupées russes, chaque structure successive (de l'atome à la galaxie) peut être considéré comme ayant son propre référentiel permettant de calculer les mouvements et l'énergie entre ses constituants.

     

    ''L'interaction non spécifiée'' est précisément celle qui existe entre les ondes magnéto-gravitationnelles (ondes de structure) de chaque organisme participant au même référentiel.

    Telles sont les hypothèses de base sur lesquelles mon blog est construit et sur lesquelles se développe la physique des ondes. Cordialement. Paul

     

    * Le 11/07/19 à 17h.08 de Paul à Pierre

     

    Bonjour Pierre. Votre mail m'a amené à me replonger dans l'imbroglio de 1920-1930 entre :

    La théorie des ''quanta'', la''mécanique'' quantique, la ''relativité'' restreinte et générale, la ''mécanique'' ondulatoire, la théorie quantique des ''champs'', toutes théories qui s'opposaient entre elles et qui devaient expliquer les phénomènes réels de l'électromagnétisme et de la spectroscopie. Imbroglio qui se traduit encore, 100 ans après, par le refus de reconnaître que la matière est réellement faite d'ondes. Même Milo Wolff  ne peut concevoir son électron-onde différemment d'une boule.

     

    A partir du moment ou les mathématiciens se sont emparés du problème, cela n'a fait qu'empirer dans la complexité. La mathématique probabiliste, l'explication du principe d'indétermination (d'incertitude) par la non commutativité algébrique et la virtualité des particules, ont coupé la physique de l'étude des faits réels. Ceux-ci, difficilement explicables, sont baptisés ''effets'' et sont placés sous le nom et la responsabilité des découvreurs expérimentateurs (au cas où il se seraient trompés).

     

    En plus de la page : https://fr.wikipedia.org/wiki/Longueur_d%27onde_de_Compton,

    la page Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Hypoth%C3%A8se   _de_De_Broglie

    explique pourquoi de Broglie n'a pas pu aller jusqu'au bout de sa pensée. (Voir ci-dessous).

    Je ne connais pas bien la théorie de Bohm.

     

    << Le développement très rapide de la mécanique quantique après la publication de son travail a mis Louis de Broglie face à une interprétation probabiliste de la fonction d'onde qui ne lui convenait pas et, se sentant plus proche de la vision einsteinienne de la physique, il a essayé de développer sa propre interprétation de la théorie quantique : la théorie de l'onde pilote formulée vers 1927. >>

     

    * Le 11/07/19 à 18h.21 de Pierre à Paul

     

    Bonjour Paul. Oui, il y a deux courants de pensée, ceux (la plupart) qui estiment qu'une théorie n'est utile que pour mesurer ou prévoir un phénomène physique, et ceux qu'on appelle ''réalistes'' qui essayent de comprendre la réalité. Cette seconde catégorie semble en voie de disparition.. Il faut dire que le caractère non déterministe du modèle standard n'est pas remis en question par les physiciens actuels. Il y a le problème EPR, celui des variables cachées.

     

    Seul le modèle réaliste de Bohm résiste jusqu'à maintenant (depuis plus de 50 ans ..), c'est lui qui a repris le travail de De Broglie sur l'onde pilote. Et il était expert du modèle standard il a su écrire quelque chose de compatible. Ce qui est formidable c'est que son modèle donne des résultat corrects en étant déterministe. Mais je crois que les physiciens, et l'esprit humain n'aime pas la notion de déterminisme, c'est peut être aussi une raison.

     

    Voici une vidéo qui présente sa théorie. (Le gars est amusant et il explique bien)

    https://www.youtube.com/watch?v=fEB8W_f3qa4 

    Une autre aussi qui fait sa critique ici (voir en minute 23.20s)

    https://www.youtube.com/watch?v=M0KBM8UtIKU

    Voici des liens intéressants sur le sujet:

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9orie_de_De_Broglie-Bohm 

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Variable_cach%C3%A9e#L'exp%C3%A9rience_%C2%AB_avant-avant_%C2%BB

     

    N.B. : il y a une version de la théorie de Bohm en théorie des champs (Particule remplacée par une onde, mais c'est hors de mes compétences).

     

    Je suis en train de travailler sur la question "pourquoi quelque chose plutôt que rien'", et le déterminisme. Bonne fin de journée. Pierre

     

    * Le 12/07/2019 à 12:51 de Pierre à Paul

     

    Bonjour Paul. Voici un article intéressant sur l'effet Aharonov :

    http://siliconwadi.fr/3974/leffet-aharonov-bohm-la-sixieme-merveille-du-monde-quantique

     

    D'après ce que j'ai compris, il montre qu'un champ nul peux affecter un électron, ce qui indique que le potentiel est présent même si le champ est nul, et que le potentiel est bien une réalité physique et non un outil de calcul.

    Un autre article ici parlant de trajectoire de particules réelles (de 2011, traduit)

    https://translate.google.fr/translate?sl=en&tl=fr&u=https%3A%2F%2Fphysicsworld.com%2Fa%2Fphysics-world-reveals-its-top-10-breakthroughs-for-2011%2F

     

    * Le 12/07/19 à 14h.08 de Paul à Pierre

     

    Bonjour Pierre. Un grand merci pour les adresses que vous m'avez indiqué. Je vais pouvoir étudier le modèle ''réaliste'' de Bohm que je ne connais pas et qui, si j'ai bien compris, date de 1952 et même de 1975. La vidéo de Eric Dodemont est intéressante, dommage qu'il bafouille juste aux endroits importants.

    J'ai du mal à comprendre l'importance que vous attribuez au déterminisme (ou non).

    Je n'ai pas encore abordé les autres adresses, mais je suis tombé sur : https://www.agoravox.fr/actualites/technologies/article/david-bohm-le-vilain-petit-canard-199748

    que je vous recommande.

     

    Je comprend le ''potentiel quantique'' comme ''l'information-guide'' en provenance du référentiel dans lequel se trouve le corpuscule. Je reprends l'idée des poupées russes, chaque corpuscule est guidé et informé par l'onde de structure du référentiel dans lequel il se trouve. C'est comme la vie dans une société, ce n'est pas le vrai déterminisme, c'est la liberté et le hasard, sous contrainte de la loi. Chacun agit en fonction de sa propre onde de structure, c'est à dire de sa propre constitution physique et chimique. C'est peut-être aussi cela le déterminisme ? Par contre ''l'énergie'' est un bien commun et peut se mesurer de la même façon. Dans la rubrique N°26, j’explique ce qu'est l'énergie potentielle d'un électron au repos, en opposition à la dérive de ''l'énergie du vide''. Je regrette de n'avoir pas connu plus tôt la théorie de Bohm, j'aurais pu mieux rédiger.

     

    * Le 12/07/19 à 14h.24 de Paul à Pierre

     

    Cela confirme ce que je viens de vous écrire. Le champ nul, c'est l'énergie des électrons au repos. Le potentiel, c'est celui de l'onde de structure des électrons des nucléons de l'atome en équilibre dans son référentiel, ondes de structure qui tournent en permanence, (moteur non embrayé). Voir la rubrique N°26. Je vais étudier l'effet Aharonov, sûrement encore un exotique, communiste en plus ?

     

    * Le 12/07/19 à 14h.46 de Pierre à Paul

     

    Je ne sais pas si Aharonov est communiste mais il n'est pas exotique, il a reçu une grande quantité de prix pour ses recherches. Merci pour votre lien, je vais regarder. Cordialement

     

    * Le 13/07/19 à 19h.40 de Paul à Pierre

     

    Merci pour vos adresses. Leurs lectures m'obligent à me plonger dans l'étude de notions (potentiel, champ, etc.) qui ont un sens mathématique différent de celui que l'on employait en physique ''de mon temps'' (1949-1953). En mathématique, j'en suis resté au calcul différentiel et intégral de math-spe. C'est pour cela que vous ne pouvez pas trouver chez moi un langage qui convienne à vos recherches et à votre travail. J'essaye de me mettre à votre portée mais cela m'oblige à réfléchir, ce qui est pour moi une excellente activité.

     

    J'ai bien aimé Eric Dodemont mais pas du tout Frank Laloë. Sa sono est mauvaise mais en plus, n'ayant strictement rien compris de ce qu'il dit, je ne peux même pas en parler.

    Nous avons une meilleure température, surtout la nuit, ce qui permet de récupérer la fatigue du cerveau de la journée. Cordialement

     

    * Le 14/07/19 à 10h.37 de Pierre à Paul

     

    Bonjour Paul. En fait le problème des math maintenant c'est les notations qui sont souvent condensées pour écrire des formules les plus courtes possibles et qui sont explicites que pour ceux qui travaillent dessus. Moi aussi j'ai beaucoup de mal à m'y repérer, ayant quitté la fac en 1990 ça fait quand même 30 ans j'ai presque tout oublié. Mais ça reste toujours basé sur du calcul différentiel, en reformulant les équation on s'y retrouve avec des efforts.

     

    La vidéo de Franck Laloé n'est pas évidente car faite pour une audience de physiciens. J'ai dû la repasser une dizaine de fois avec des recherche en parallèle sur wiki pour m'y retrouver. Mais à force on fini par progresser.

     

    Je suis en train d'étudier l'équation de Schrödinger et la théorie de Bohm. J'essaye de décrypter les math et de trouver la logique. C'est difficile....Bonne journée.

     

    * Le 14/07/19 à 21h.25 de Pierre à Paul

     

    Bonsoir Paul. Voici une thèse bien faite en Français sur le théorie de Bohm.

    http://depot-e.uqtr.ca/1982/

     

    Je l'ai imprimé, je vais l'étudier en détail. Ça va sûrement me prendre plusieurs semaines, mais ça devrait permettre d'avancer d'une manière plus fiable et plus précise que des articles disséminés de vulgarisation. Si cela vous intéresse de refaire des maths...Bonne soirée. Pierre

     

    * Le 15/07/19 à 17h.38 de Paul à Pierre

     

    Bonjour Pierre. Merci pour cette thèse d'Emilie Guay qui explique remarquablement bien l'ensemble du problème ''onde-particule'' et la théorie B.B.

     

    J'ai trouvé de mon coté : http://perso.utinam.cnrs.fr/~viennot/doc/qtransp.pdf

    ainsi que : https://www.equipes.lps.u-psud.fr/Montambaux/polytechnique/PHY560B/papers/Imry-Webb-AB-PLS.pdf

    Je les trouve bon l'un et l'autre. Par contre je ne peux plus accéder au site '' la sixième merveille du monde'' qui est bloqué, mais c'est plus de la vulgarisation.

     

    J'ai donc retrouvé le fond du problème qui m'avais choqué il y a 12 ans et qui est finalement à la base de ma soudaine ''vocation de physicien exotique''. C'est G. Lafrenière qui est à l'origine de mon choix dans cette alternative onde-particule qui m'avait troublé.

     

    Mon hypothèse d'électron ''particule constituée d'une onde longitudinale qui tourne transversalement'', disque au repos, vortex en mouvement, n'est pas absurde. Elle simplifie considérablement tous les problèmes posés par cette particule ''standard'' conduite éventuellement par une onde pilote. Celle-ci ayant la particularité d’apparaître si nécessaire pour ''passer dans les deux trous de Young'' ou dans le trou d'un tunnel.

     

    Mon électron est pleinement quantique et conforme au modèle standard de l'atome. Il a l'avantage, au repos, de conserver un ''potentiel'' d'action (un champ d'ondes magnéto-gravitationnelles), de faible fréquence mais capable d'interaction énergétique de par son lien avec le champ d'ondes de type lumière (c'est la même onde qui tourne). Il n'est plus besoin d'aller chercher de l'énergie dans le vide de l'espace.

     

    J'ai mieux compris le sens de votre recherche d'équation sur laquelle construire votre logiciel, également votre questionnement sur le déterminisme. Je suivrai avec intérêt le développement de votre travail, si vous le voulez bien, mais ne pourrai pas en apprécier la partie mathématique. Condensées ou pas, les notations me sont inconnues. Cordialement. Paul

     

    * Le 16/07/19 à 18h.29 de Pierre à Paul

     

    Bonjour Paul. Dans cet article, ils parlent de la nature corpusculaire ou entièrement ondulatoire de l'électron. Il semblerait que la théorie des cordes utilise un modèle entièrement ondulatoire en faisant interagir deux champ électriques.

    https://www.futura-sciences.com/sciences/dossiers/physique-boson-higgs-cle-fondamentale-univers-532/page/2/ C'est intéressant...

     

    J'ai compris l'idée générale de votre modèle. J'y reviendrait peut être plus tard quand j'aurais fait le tour des différentes notions théoriques. Pour l'instant encore beaucoup de questions non résolues. Et à chaque question, il y a une arborescence de sous questions..

     

    Je n'ai toujours pas compris de façon intuitive comment fonctionne l'équation de Schrödinger... Ni pourquoi c'est une équation imaginaire.. (avec i).

    Concernant le potentiel quantique de Bohm, je n'arrive pas avec les équations à voir si il se propage à la vitesse c, ou si il est instantané.. Bonne fin de journée. Pierre

     

    * Le 16/07/19 à 23h.38 de Paul à Pierre

     

    Bonjour Pierre. Avec Laurent Sacco (futura-sciences) vous avez fait un bon choix. C'est un excellent journaliste de vulgarisation qui est un vrai historien des science. Je l'ai longuement cité dans ma rubrique N°22 ''Physique de la matière condensé, de la supraconduction à la spintronique'' pour expliquer le phénomène de supraconduction.

     

    Le champ électrique est une notion théorique qui n'existe pas dans la réalité, contrairement au champ électromagnétique qui est du type magnéto-gravitationnel. Le ''potentiel quantique'' renvoie à la notion d'oscillateur harmonique quantique ou peut-être à celle de moment magnétique de spin. Je n'en ai pas encore compris la signification. Cordialement. Paul

     

    * Le 16/07/19 à 23h.39 de Pierre à Paul

     

    Bonsoir Paul. Voici un extrait de texte trouvé sur cette page :

    https://www.futura-sciences.com/sciences/dossiers/physique-boson-higgs-cle-fondamentale-univers-532/page/2/

     

    << voici quelques éclaircissements sur la théorie de Born-Infeld. Les équations de Maxwell-Lorentz sont linéaires, c'est-à-dire que la somme des champs électrique et magnétique créés par une charge, ou un courant, est encore une solution des équations précédentes. Tel quel, le champ d'une des particules n'influe pas sur l'autre directement, et il faut rajouter à ces équations une loi de force qui indique comment le champ électrique de l'une modifie le mouvement de l'autre, en l'occurrence c'est l'expression de la force de Lorentz. >>

     

    C'est ce que je vous disait au début pour créer un électron entièrement ondulatoire (et mobile), il faut faire interagir deux champs (ou plus), et définir leur loi d’interaction. Je suis content d'avoir eu cette intuition sans avoir les connaissances mathématiques.

     

    * Le 16/07/19 à 23h.52 de Pierre à Paul

     

    Merci pour ces informations sur le champ électrique. Je n'ai pas encore trouvé d'article sur les ondes magnéto-gravitationnelles. Il faut dire que pour l'instant j'ignore la gravitation pour ne pas trop compliquer les choses.

     

    Je n'ai pas encore compris la relativité générale, tout ce que j'ai pu lire pour l'instant était incompréhensible. Pour le moment je me dit que c'est peut-être simple en changeant de point de vue et que je n'ai pas encore trouvé la bonne explication. Bonne nuit. Pierre.

     

    * Le 17/07/19 à 17h.24 de Pierre à Paul

     

    Bonjour Paul. Voici un article intéressant sur futura-science (il est bien ce site).

    https://www.futura-sciences.com/sciences/dossiers/physique-mecanique-quantique-fondements-applications-1698/page/4/

    Cordialement. Pierre

     

    * Le 17/07/19 à 21h.01 de Paul à Pierre

     

    J'espère que vous avez passé une bonne journée malgré l'influence orageuse persistante des champs électriques et magnétiques.

    La page de L.Sacco que vous m'avez indiqué m'a obligé à réfléchir à nouveau à toutes les questions que je me suis posé au départ de mon étude de la physique il y a 12 ans. Je reviens donc sur mes hypothèses pour tenter de les justifier.

     

    L'électron de G. Lafrenière est, comme j'avais compris, l'interaction de deux ondes qui interfèrent pour créer son ''onde stationnaire mobile''.

    En suivant les idées de J.J.Micalef, j'ai adopté l'idée de la création des électrons dans les étoiles en formation, les planètes étant aussi d'anciennes petites étoiles et non des ''planétésimaux''. Mon électron est le résultat de l'interaction de deux mouvements dans la substance de l'espace (S.E.). Les deux sont quantiques puisque c'est une propriété de la (S.E.). Le premier mouvement est celui des ondes de type lumière, son ''champ'' qui est universel est la propre (S.E.). Ce mouvement transporte l'énergie d'une ''matière'' émettrice à une autre réceptrice. Cette énergie est représentée par l'action de la lumière, nous vivons de cette énergie que nous utilisons sous toutes ses formes.

     

    Le deuxième mouvement (transversal) est d'origine stellaire, c'est lui qui ''fabrique'' la matière. En corrélation avec le premier, ce deuxième mouvement produit en série (dans les étoiles) des particules élémentaires (les électrons-positrons) qui sont polarisés (ils tournent ''spinent'' à gauche ou à droite dans le sens du mouvement). Ce mouvement de spin (de rotation) polarisé d'une particule élémentaire en mouvement crée son champ électromagnétique qui n'est, dans la réalité, qu'un ''champ magnétique'' créé par un électron en mouvement.( Voir l'extrait de Wikipédia ci-dessous).

     

    Au repos l'électron crée un champ électrostatique dont, si j'ai bien compris, on pourrait baptiser l'origine ''potentiel quantique''. De même, j'ai baptisé ''onde de structure'' l'onde de spin de l'électron car c'est cette onde qui ''matérialise'' la (S.E.). Chaque particule composée (proton, neutron etc.), chaque corpuscule, chaque corps, planète, étoile, galaxie, possède sa propre onde de structure dont la force du champ ''d'attraction-répulsion'' est proportionnelle à la masse, c'est-à-dire au nombre de particules élémentaires contenues.

     

    L'ensemble de cet exposé est une vue ''réaliste'' qui se voudrait ''coller'' à la réalité expérimentale. La construction mathématique de la réalité est une source considérable de progrès dans la connaissance du réel à condition qu'elle ne soit pas sclérosée et qu'elle n'en vienne pas à ''déformer'' les faits (les effets).

     

    Extrait de : https://fr.wikipedia.org/wiki/Champ_%C3%A9lectrique

    << Le champ électrique présente en réalité un caractère relatif, et n'existe pas indépendamment du champ magnétique. En effet, la description correcte du champ électromagnétique fait intervenir le tenseur (quadridimensionnel) de champ électromagnétique F^{\mu \nu }, dont les composantes temporelles correspondent à celle du champ électrique. Seul ce tenseur a un sens physique, et lors d'un changement de référentiel il est possible de transformer le champ électrique en un champ magnétique et vice-versa. >>

    Cordialement. Paul

     

    * Le 17/07/19 à 22h.55 de Paul à Pierre

     

    Bonsoir. Ce Claude Aslangul est vraiment étonnant. Il écrit très bien à propos de toutes sortes de sujets, le style est plaisant. Arrivé au bout de la lecture je n'ai pas su de quoi il avait parlé. Bref, je n'ai rien retenu de son texte. Oui futura science fait partie des sites valables, il en est d'autres que l'on découvre au fur et à mesure des recherches.

    Lorsque je travaille un sujet je récolte sur un brouillon une trentaine d'adresses de sites et de thèses avec quelques bribes de textes explicatifs. Je les consulte en permanence, mais je reviens très souvent sur Wikipedia qui est vraiment une mine d'or sûre, excepté sur les sujets les plus récents ou les plus pointus qui sont absents en français. Les traductions sont rarement lisibles. Cordialement.

     

    * Le 18/07/19 à 13h.00 de Pierre à Paul

     

    Bonjour Paul. J'ai réussi à tracer une fonction d'onde. J'ai choisi d'utiliser celle trouvée dans le mémoire d'Emilie Gauy (page 14) pour faire l'interférence d'une particule. Voici la formule (j'ai utilisé un programme de math pour faire les calculs).

     Etude d'une représentation animée du mouvement des électrons

    C'est une fonction plane en x et Gaussienne en y.

      

    J'ai compris plusieurs choses :

    *L'équation de Schrödinger permet de générer les fonctions d'onde.

    *Elle définit une contrainte sur la fonction, qui doit être respectée pour que l'égalité de la fonction de Schrödinger soit vérifiée.

    *La fonction d'onde est au format complexe car en fait elle définit 2 fonctions (une réelle et une imaginaire).

    *La somme de la partie complexe au carré + celle de la partie imaginaire au carré donne la probabilité de présence de la particule. (au carré aussi)

     

    Etude d'une représentation animée du mouvement des électrons

     

    On voit ici 3 raies représentant la fonction, la ''particule'' se déplace de gauche à droite.

     1er : partie réelle au carré

    2ème : partie imaginaire au carré

    3ème : somme des 2 premières.

     

    Mon interprétation est que ces parties imaginaires et complexes permettent de générer les interférences dans l'espace quand on combine plusieurs fonctions d'onde.

    L'avantage ici, c'est que le paquet d'ondes (particule) se déplace bien de façon rectiligne sans se diluer, ce qui n'est pas possible à faire dans l'éther virtuel de G.Lafrenière.

     

    Je vais essayer de créer des interférences en combinant deux fonctions. Cela me servira de référence pour mon programme. Après j'essayerai d'extraire le potentiel quantique à partir de Bohm.

    Beaucoup de travail, mais intéressant. Cordialement. Pierre.

     

    * Le 18/07/19 à 14h.35 de Paul à Pierre

     

    Merci de votre mail, je suis heureux que votre paquet d'ondes (particule) arrive au bout sans se ''diluer''. Avoir une courte explication concernant l'éther virtuel de G. Lafrenière me serait instructif.

     

    Mais c'est surtout le ''potentiel quantique'' et son influence sur la fonction d'onde qui me paraissent l'essentiel des problèmes à prendre en compte pour la réalisation de votre programme de travail. Vous avez entrepris une tâche complexe (c'est le mot juste), je vous en félicite et vous encourage.

    Cordialement. Paul

     

    * Le 18/07/19 à 18h.10 de Pierre à Paul

     

    En fait dans l’éther de Mr Lafrenière, l'énergie de l'électron est rayonnée de manière sphérique, et se disperse. L'électron disparaît rapidement sauf si on injecte de l'énergie en permanence (pas de conservation d'énergie). Il parle d'un mécanisme de lentille et de pression de radiation pour injecter l'énergie, mais ce n'est pas clair et très succinct.

     

    L'énergie doit en plus être injectée à la surface d'une sphère qui définit la surface de l'électron... Cette sphère étant elle même dans l'éther, ce modèle est étrange... L'électron ressemble à une bulle... Mais bon, peut être il y a du vrai la dedans ?

     

    Aussi, il n'y a pas de quantité de mouvement associé à la fonction d'onde (qui est très simple, décrite sur sa 1ère page). Donc on ne peux pas la déplacer à partir de celle ci. Il faut alors ajouter une particule ''corpusculaire'' indépendante du champ qui, elle, a une quantité de mouvement. La ''bulle'' et dans ce cas, l'électron, n'est plus uniquement une onde.

     

    L'effet Doppler apparaît si on le déplace de cette manière, (c'est une conséquence), mais ce n'est pas lui qui déplace la particule.

     

    Pour celui de M.Wolff, pas besoin d'injecter de l'énergie, mais il faut que des ondes convergentes ayant la bonne forme arrivent en permanence sur l'électron pour entretenir les ondes stationnaires. Il y a conservation de l'énergie, mais l'explication sur la génération de ces ondes extérieures est très imprécise et me semble impossible. Pour le déplacement je n'ai aucune idée comment ça peux fonctionner, et je crois qu'il n'aborde pas le sujet (mais j'ai pas lu son livre).

     

    L'astuce pour déplacer la particule sous forme de paquet d'onde uniquement, et de manière compacte, doit se trouver dans l'équation de Schrödinger, et fait intervenir les 2 champs.

    Je n'ai pas encore compris pourquoi ça fonctionne, comment les deux champs interagissent. Mais sur le graphique que je vous ai envoyé, on voit qu'elle se déplace et reste compacte.

     

    Le potentiel quantique et très intéressant aussi. J'aimerais surtout savoir si il se déplace (à vitesse c ou celle de la particule ?) ou si il est global (effet instantané partout).

    Si il est global c'est très étrange, et je me demande quel système naturel permettrait de le générer.. ça a des implications philosophiques....Je n'arrive pas à voir ça dans les équations, il faut que je fasse des programmes. (Je ne suis pas Cédric Villani !!)

     

    Je vais devoir mettre en pause, un peu pour gérer la vie réelle, papiers, projet professionnel..

    J'y retourne dès que possible.

    Pas trop de champs électromagnétiques aujourd'hui et il fait frais. Bonne fin de journée

     

    * Le 23/07/19 à 18h.01 de Paul à Pierre

     

    Bonjour Pierre. Profitant de notre pause, indispensable pour assurer les affaires courantes et une vie normale, j'ai rassemblé, à la suite et dans l'ordre, notre échange de mails depuis un mois déjà.

    Savez vous que vous avez rédigé 34 mails et moi 26. Mis en page comme j'en ai l'habitude, (textes en paragraphes homogène, présentation identique), cela représente 30 pages, avec les photos et les textes cités.

     

    La lecture en est très intéressante car nombre de problèmes complexes sont soulevés et discutés très simplement. Même sans aller plus loin dans l'avancement de votre projet, vous en avez jeté les bases. Vous avez repris et discuté les textes et les essais de ceux qui se sont lancé précédemment dans cette aventure. Vous avez ouvert et fermé des voies.

     

    Je trouve qu'il ne faut pas laisser de coté le travail déjà accomplis et je pense que cette étude pourrait intéresser des amateurs et même des scientifiques de profession.

     

    Ayant actuellement une moyenne de 22 visiteurs par jour sur mon site (27.300 depuis 6 ans), il serait possible et je pense souhaitable, avec votre plein accord et en respectant les contraintes que vous jugerez bonnes, de publier cet échange sur mon blog en rubrique N°27 avec une introduction adéquate. A vous de réfléchir à cette proposition et de me dire, en toute franchise, ce que vous en pensez. Cordialement. Paul

     

    * Le 24/07/19 à 10h.59 de Pierre à Paul.

     

    Bonsoir Paul. Je ne sais pas pour l'instant, mais peut être pour plus tard. Je suis en phase d'étude, et si je sais que nos échanges peuvent être mis en ligne ça influera sur la spontanéité et le contenu. J'ai aussi remarqué sur les forums que le milieu scientifique n'aime pas beaucoup les amateurs et les curieux qui sortent des rangs (comme dans une chanson de G.Brassens). Et certains ont la critique facile.

    Je pense poursuivre jusqu'en septembre, après j'ai un autre projet (professionnel) et je vais devoir mettre en pause. On pourrait en reparler à ce moment là ?

     

    Sinon hier j'ai étudié les math sur l'équation de Schrödinger. J'ai trouvé un cours qui explique bien et ça commence à s'éclaircir avec pas mal d'efforts. L'effet tunnel est instructif. Manipuler l'équation avec des maths est une chose, la comprendre est plus difficile. J'ai tracé une fonction d'onde solution de l’équation de Schrödinger, ça donne ça: (onde plane en x, Gaussien en y). En rouge: partie réelle. En bleu: partie imaginaire. (Cycle :76, FPS : 1,46) 

    Etude d'une représentation animée du mouvement des électrons

     

    Je n'ai pas les même courbes que sur mon programme. Je n'ai pas encore compris comment fonctionne l'équation.

    J'ai aussi étudié les oscillateurs harmoniques utilisant des nombres entiers.

    Voici un graphe intéressant:

    Etude d'une représentation animée du mouvement des électrons

    En x: amplitude (énergie potentielle initiale). En y: la masse (ou énergie cinétique)

    Couleur: proportionnelle aux nombres de cycles nécessaire pour que l'oscillateur revienne dans son état initial (avec exactement la même énergie que celle initiale)

     

    On voit les aspects ''quantiques'' ou chaotiques apparaître lorsque la masse de l'oscillateur est inférieure à environ 1/2 de l'énergie stockée. C'est une conséquence naturelle des suites récurrentes avec des nombres entiers. Je pense que cela peut avoir un lien avec la physique quantique.

    On observe des ''bandes'', ça à l'air d'être une fonction en 1/x ou ressemblant..

     

    Voila j'ai aussi regardé rapidement le site de Yuri Ivanov sur la rhytmodynamic.. il y a des choses intéressante je crois, j'ai commencé à lire (c'est long et en Anglais). 

    Voir ici http://www.mirit.ru/rd_2007en.htm (le site d'origine n'est plus accessible). Bonne journée.

     

    * Le 24/07/19 à 15h.05 de Paul à Pierre

     

    Bonjour Pierre. Je suis pleinement en accord avec vous. Ma proposition est tout à fait prématurée, mais, suite au travail de mise en page que j'ai fait, le sujet est tellement intéressant que j'ai voulu vous en faire part dès maintenant. Je vais me débrouiller pour vous envoyer ces 30 pages car ma messagerie refuse d'envoyer les gros textes. Vous pourrez en juger vous même.

     

    Oui, il faut absolument garder la spontanéité et dire ce que l'on pense, au fur et à mesure, sans arrières pensées. C'est justement ce qui fait l’intérêt de nos précédents échanges. Le milieu scientifique, personnellement je n'en attend rien, mais pour vous ce peut être différent.

      

    J'ai aussi remarqué, en suivant les discussions des forums, que les ''vilaines critiques'' viennent de ceux qui semblent les plus nuls. En ce qui me concerne, je suis quand même surpris de n'avoir eu aucune critique ni commentaire bien ou mal-veillant, malgré le nombre de visite. En un sens j'en suis un peu désolé.

     

    J'ai étudié l'effet tunnel dans ma rubrique N°2 ''Microscopes utilisant les ondes de structure'' paragraphe N°32. ''L’effet tunnel''. Vous pourriez lire aussi la rubrique N°7 ''Propagation des ondes dans la substance de l'espace''. Tous mes écrits ne sont pas bien mathématiques. J'en étais (et en suis) resté aux applications mécaniques de l'électricité et aux formules simples de l'électromagnétisme. Finalement j'ai appris la physique quantique récemment, entre 2007 et 2013, et j'en découvre sans arrêts tous les développements en même temps que les progrès scientifiques sont dévoilés.

     

    Vos graphes sont très beaux et aussi étonnants car sûrement significatifs d'une réalité, sinon les équations ne servent à rien. Mais oui, les nombres entiers sont la base des quanta, des harmoniques (ondes), et aussi des électrons. Tout indique que la matière est faite d'ondes. Mais la ''Science'' n'aime pas les ondes, surtout les ''ondes magnétiques'' à la rigueur les ondes gravitationnelles, puisque Einstein en a parlé et qu'on les a sans doute mis en évidence.

     

    Yuri Ivanov fait partie de ces scientifiques qui voient les choses différemment des traditionnels. J'avais repéré ces deux sites :

    -https://www.gsjournal.net/Science-Journals/Research%20Papers-Relativity%20Theory/Download/6869 

    -http://mirit.ru/rd_2007en.htm

     

    * Le 24/07/19 à 17h.09 de Pierre à Paul

     

    Merci pour ces liens. Concernant la réinterprétation de la relativité restreinte d'Ivanov, ça semble être la même que pour M.Wolff et G.Lafrenière, en fait Lorentz avait à la base supposé la contraction des objets. Cela je ne m'en occupe plus car c'est la seule interprétation compréhensible. (plutôt que le temps et l'espace qui se déforme suivant l'observateur..)

     

    Sinon j'ai fini de lire le mémoire d'E.Guay, bien fait je trouve.

    Je n'adhère plus trop à la théorie de Bohm car le potentiel quantique qui relie instantanément toutes le particules me paraît bizarre et improbable comme phénomène naturel, et aussi parce qu’on peux obtenir les mêmes trajectoires des particules en utilisant directement l’équation de Schrödinger, sans faire intervenir cette connexion instantanée.

     

    D'après ce que j'ai compris, la théorie de Bohm est juste une interprétation différente du modèle standard, faite en écrivant différemment l'équation de Schrödinger (sans la modifier).

    Par contre la théorie a le grand mérite de définir des trajectoires et de montrer que les phénomènes peuvent être décrits de manière déterministe.

     

    Je suis en train de me renseigner sur la dispersion des paquets d'ondes..

    Avec le modèle standard, la fonction d'onde représente bien une probabilité, et le paquet d'onde s'étale rapidement avec la distance.

    La fonction d'onde ne peut pas être la particule. Ce que j'avais plus ou moins supposé avant l'étude. Donc physiquement on ne propage pas la fonction d'onde, c'est un modèle purement mathématique. Il faut donc considérer une particule comme un objet indépendant, ou si c'est une onde ce n'est pas celle de Schrödinger.

     

    Cependant pour l'instant je n'ai pas réussi à trouver d'algorithme utilisant des nombres entiers permettant de propager un paquet d'ondes sans avoir de dispersion spatiale.. (sauf si v = c)

     

    Mon algorithme actuel crée une dispersion, qui est faible mais à longue distance la particule se perd dans du bruit. Ce qui voudrait dire par exemple que je ne peux pas envoyer une particule sur la lune, ce qui pose problème..

     

    Sinon ici il fait très chaud... 29°C. C'est dur pour quelqu'un du Nord. Bonne fin de journée.  Pierre

     

    * Le 26/07/19 à 11h.25 de Paul à Pierre

     

    Bonjour Pierre. G.Lafrenière n’arrête pas de dire que c'est Lorentz et non Einstein qui a ''inventé'' la relativité restreinte.. C'est une des raisons de sa mise à l'écart par la communauté scientifique. Il fait aussi grand cas de la contraction de la matière qui explique beaucoup de phénomènes.

     

    Comme je comprends le potentiel quantique, je le pense une propriété de chaque particule, ce n'est pas ''une chose'' qui relie les particules. Le lien qui les attire et qui les repousse (suivant les polarité) (suivant le sens de spin de chaque particule), c'est cette onde de structure propre à chaque électron qui est à l'origine de son champ magnétique (électromagnétique lorsque cette particule est en mouvement)

     

    Pour moi la ''fonction d'onde'' est bien un modèle mathématique, c'est son seul intérêt. Par contre la notion de ''paquet d'ondes'' signifie pour moi ''particule composée'' ou ''rayonnement'' ou'' électrons en circulation'' et non : << une onde de probabilité qui décrit la probabilité pour une particule (ou des particules) dans un état donné d'avoir une position et une quantité de mouvement données. >>

    De même j'essaye de comprendre les notions d'amplitude de probabilité et de potentiel harmonique. Je pense comprendre ''l'énergie au point zéro..''

     

    Votre graphe représentant un oscillateur harmonique est surprenant et inattendu. On le croirait établi en 3D. Il représente visiblement un ensemble de phénomènes essentiels : des ondes, des interférences, des quanta d'énergie. Mais je n'en comprends pas le ''scénario''. 

    Courage, la canicule se termine cette nuit. Ouf, il est temps.

     

    * Le 27/07/19 à 13h.17 de Pierre à Paul.

     

    Bonjour Paul. D'après Bohm le potentiel quantique est une information qui dépend à chaque instant de la position de toutes les autres particules, cela de manière indépendante de la distance.. c'est une information globale. (Il y aurait donc un lien direct entre chaque particules..)

     

    Le paquet d'ondes actuel du modèle standard permet de propager la probabilité de trouver la particule à un endroit. On peut l'utiliser pour retrouver les trajectoires de Bohm. (En suivant le courant de probabilité maximal, ce qui est fait dans le mémoire d'E.Guay).

    Propager ce paquet d'onde permet d'expliquer logiquement l'expérience des fentes de Young. (sinon il faut imaginer un autre processus..).

     

    La fonction d'onde globale de l'univers a du être définie lors de sa création en fonction des conditions initiales (oui c'est étrange, pour l'instant je n'ai pas d'autre explication rationnelle).

    Lors d'une expérience physique réelle, la fonction d'onde de l'univers est ''à jour'', et dépend complètement de son environnement. Les appareils de mesures et les observateurs y contribuent.

     

    Pour mon programme de simulation je ne sais pas encore comment faire, car je veux qu'il n'utilise que des phénomènes qui pourraient être réels (sinon ce n'est pas intéressant).

    Je suis toujours en train d'étudier les oscillateurs discrets. (seul élément physique de base qui me semble crédible pour le moment)

     

    Voici un nouveau graphique intéressant:

    Etude d'une représentation animée du mouvement des électrons

     

    La couleur est blanche si le nombre de cycles nécessaire à l'oscillateur, pour revenir à son état d'énergie initiale, est un nombre premier.

    On voit qu'il y a une sorte de structure dans la distribution des nombre premiers, bien que pas très régulière.

    Peut être que cette structure permet de générer une auto organisation à partir de la distribution d'énergie initiale (le Big-bang, je ne rejette pas l'idée).

     

    Je m’intéresse à la suite aux articles suivants:

    Voir encadré sur l'effet hall

    http://planete.gaia.free.fr/sciences/math/nombre.premier.html

    et ici (voir conclusion à la fin, les math sont trop difficiles)

    https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01174146v3/document

     

    Comme vous pouvez le voir je pars dans toutes les directions.

    Sinon aujourd'hui la température est redevenue normale, c'est agréable, ça faisait 3 jours que je dormais mal à cause de la chaleur et du coup difficile de réfléchir. Bonne journée

     

    * Le 28/07/19 à 19h.41 de Paul à Pierre

     

    Bravo pour votre nouveau graphe. Magnifique ! 

    Non, vous ne partez pas dans tous les sens, vous êtes en plein centre du mécanisme de l'électron. L'effet Hall quantique, l'effet Zeeman, l'effet Tunnel, l'effet Casimir, l'effet Aharonov-Bohm, l'effet Josephson, tous ces ''effets'' que la physique standard a du mal à expliquer le sont très simplement par la physique des ondes. Pour comprendre et admettre le rôle de l'électron de la physique des ondes, je vous recommande la lecture de la rubrique N°22 ''Physique de la matière condensée. De la supraconduction à la spintronique'' notamment les chapitres N° 52 et 53. Lire également la rubrique N°23. Les phénomènes de la supraconduction, de la résonance magnétique sont essentiels à connaître.

     

    Je vous recommande sur YouTube un excellent conférencier, Julien Bobroff. Il est, en plus, exceptionnel car il a le courage de répondre à certaines questions : ''je ne sais pas'' ou ''on ne sais pas encore''. Vous faites Julien Bobroff ''A la recherche des matières quantiques''. Il y est question de l'effet Hall quantique et d'un des ''nombres magiques'' caractérisant la matière (l'électron). Il montre également une équation (topologique) qui devrait vous intéresser.

     

    Vous devriez également connaître le rôle des principales constantes qui, dans la réalité, relient la matière à la mathématique. Je pense en premier à la constante de structure fine, au rapport gyromagnétique, au magnéton de Bohr. J'en parle au chapitre N°84 de la rubrique N°25 ''La grande unification des forces fondamentales''. Consultez également'' les nombres magiques en physique'' sur Wikipédia. La fonction Zéta pourrait peut-être en faire partie.

     

    La canicule vient de nous abandonner et nous pouvons enfin faire travailler notre cerveau qui était bloqué par la surchauffe, l'ordinateur l'était aussi. Cordialement Paul

     

    * 29/07/19 à 12h.40 de Pierre à Paul

     

    Bonjour Paul. Merci pour toutes ces informations et tous vos conseils. Je vais lire vos articles. J'ai fait un peu le tour de mes oscillateurs ''quantiques'' (qui utilisent des nombres entiers). Effectivement il y a une répartition graphique plus ou moins ordonnées de nombre premiers.

     

    J'ai essayé de trouver une loi de répartition mais sans succès.. (j'aurais aimé car c'est un problème non résolu). Mais au final je pense que le fait d'être premier n'est pas essentiel en physique, car un nombre premier indique juste que le nombre n'est pas décomposable en un produit d'autres nombres, cependant un nombre peux toujours représenter une somme d'autre nombres. l'addition est plus importante que le produit, je suppose.

     

    Actuellement mes oscillateurs ''entiers'' permettent de propager un champ, mais génèrent une dispersion. Cependant cette dispersion existe en mécanique quantique, et dans tous les milieux, même le vide (sauf si v=c). Voir ici :

    http://www.f-legrand.fr/scidoc/docimg/sciphys/elecmag/paquet/paquet.html

     

    Donc mon modèle pourrait peut être fonctionner.. Il faudrait que j'évalue la dispersion pour voir à quelle coefficient elle correspond. Après il faut encore définir comment représenter la particule (matière ou onde), puis définir quelle champ à propager pour contrôler les trajectoires.. je n'ai pas avancé beaucoup..

     

    Ivanov parle d'une forme d'onde qui reste localisée.., je n'ai pas encore lu cette partie..

    Je vais regarder vos articles et les liens que vous m'avez envoyé. Bonne journée. Pierre.

     

    * Le 29/07/19 à 15h.11 de Paul à Pierre

     

    J'ai oublié de vous dire de regarder sur YouTube Bobroff ''A la recherche des matières quantiques'' à partir de la minute 59 pour voir l'effet Hall et l'équation topologique.

     

    * Le 30/07/19 à 19h.51 de Paul à Pierre

     

    Bonjour Pierre. Je rêve de vous voir pénétrer la nature profonde de l'électron, afin que la représentation graphique de son mouvement que vous cherchez à réaliser, soit conforme à la réalité. Vous m'avez dit plusieurs fois que que vous ne saviez comment aborder en langage mathématique le coté magnétique de cette particule, ce que j'ai appelé son onde de structure, celle qui ''spine''. Cela n'est pas étonnant car les scientifiques ont toujours été attirés par le coté ''énergie'' de l'électron, c'est à dire son onde de type lumière, et ils se sont méfiés comme une peste du ''magnétisme'' considéré comme une lèpre ésotérique.

     

    L'école russe a étudié depuis longtemps le phénomène électromagnétique du coté ''magnétique''. C'est probablement leur coté ''Raspoutine'' Il n’empêche que deux illustre scientifiques russes L.D.Landau (1908-1968) et V.L. Ginzburg (1916-2009) ont étudié, dans les premiers, le rôle des électrons dans la supraconduction et la superfluidité. En 1958 sort la théorie de Ginzburg-Landau dont je vous recommande les équations que vous trouvez sur les sites suivants :

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9orie_de_Ginzburg-Landau

    https://www-fourier.ujf-grenoble.fr/~miote/xedp-miot.pdf

     

    Lors de ces phénomènes qui s'établissent à très basse température, les électrons des plus hauts niveaux d'énergie se trouvent éjectés de leurs atomes et ceux des orbites fondamentales sont endormis. Les atomes froids (rubrique N°11 et 22) subissent une transition de phase, une véritable modification de leur structure ainsi que de leurs propriétés magnétiques. ( https://fr.wikipedia.org/wiki/Transition_de_phase

     

    L'étude mathématique de ces modifications devrait permettre de prendre en compte les effets réels de notre onde de structure. Ce sont ces effets qui différencient l'électron d'une simple onde énergétique (de type lumière) et qui font de l'électron la particule de base de la matière.

     

    Vous avez toute la vie devant vous pour l'étude réelle et théorique de ces caractéristiques et phénomènes existant au plus profond de la matière. Profitez-en. Pour moi (90 ans dans 4 mois), il reste peu de temps. J'enterre cette semaine deux de mes plus proches camarades de promotion à l'ECL. Il en reste peu, et très peu en état. J'ai, on peux le dire, beaucoup de chance. Cordialement.

     

    * Le 30/07/19 à 23h.29 de Pierre à Paul

     

    Bonsoir Paul. Merci pour ces informations, j'irai les lires quand j'aurais un peu progressé. (je suis encore sur les bases). Pour l'instant j'arrive à comprendre et utiliser Schrödinger, c'est déjà pas trop mal. Certaines choses se sont (enfin) éclaircies. Je vous fait part de mes ''découvertes'', en espérant ne pas me tromper.

     

    Déjà l'équation de Schrödinger propage uniquement une onde de probabilité. Ce n'est pas réel, et non nécessaire pour une explication ''ontologique''. En fonction des conditions initiales d'une expérience on définit une fonction d'onde qui décrit le système (à t=0). Cette fonction doit vérifier l'équation de Schrödinger (l'égalité est vérifié si on injecte phi dans la fonction).

     

    Ensuite avec l'équation de Schrödinger on propage cette onde dans l'espace en partant de la fonction d'onde à t=0. Avec cela on peut connaître la probabilité d'un état (présence ou autre) à un endroit quelconque de l'espace. Comme c'est une probabilité, c'est normal que l'onde s'étale rapidement, car les conditions initiales étant imprécises (position et vitesse exacte inconnue, en supposant qu'elles existent), la particule peut partir un peu n'importe où. Mais la particule ne se trouve pas ''un peu n'importe ou'', comme ce qui est dit généralement.

     

    C'est le cas avec les expériences réelles de physique. Il est impossible de définir les conditions initiales avec une position et une vitesse précise (ni la direction). Du coup l'équation de Schrödinger est très pratique pour faire de l'expérimentation.

     

    Imaginez que les physiciens ne possèdent que des équations précises du mouvement (par ex celles de Bohm). Ils seraient alors obligés de définir une incertitude sur les conditions initiales, et de propager cette incertitude dans tous les calculs, ça devrait normalement revenir au même, mais ça serait sûrement plus compliqué (mais plus logique).

     

    Du coup à force d'utiliser des math probabilistes, j'ai l'impression que les physiciens finissent par croire que la physique est probabiliste.. c'est pour ça qu'au début on ne comprend rien.

     

    Pour simuler la réalité, je pense qu'il faut propager une onde avec sa particule, mais qui n'est pas celle de Schrödinger. Il faut cependant, en faisant varier les conditions initiales de manière aléatoire (avec une certaine distribution à définir), générer des ondes qui permettent d'obtenir les mêmes résultats que Schrödinger dans la distribution statistique des trajectoires.

     

    J'y ait peu réfléchi pour l'instant, mais à mon avis il faut que la particule génère une onde, et doit aussi être sensible à cette onde. Imaginez une planche de surf qui oscille. Elle génère des vagues vers l'extérieur mais est aussi sensibles au vagues qui arrivent sur elle. Si la particule est seule, la ''vague'' qu'elle génère ne la perturbe pas. (sauf si on se déplace, ce qui correspond à la physique)

     

    Dans ce modèle la particule n'est plus juste associée à une onde, elle génère l'onde.

    C'est le système le plus simple qui viens à l'esprit, il faudrait que j'en trouve d'autres.

     

    J'essayerai de coder ça quand j'aurai mis au point un algorithme de propagation qui fonctionne bien (sans perte d'énergie). Sinon j'ai visionné la vidéo de Mr Bobroff, elle était intéressante, il explique bien. Félicitations pour vos 90 ans prochains, je vous souhaite encore de nombreuses années d'étude de la physique. Ma mère vas aussi avoir 90 ans en Décembre. Elle est toujours très lucide, mais a beaucoup de difficultés pour se déplacer, ça serait bien d'avoir une potion de jouvence. J'en prendrai aussi car à 52 ans je commence déjà à sentir les années. Cordialement. Pierre

     

    * Le 31/07/19 à 12h.52 de Pierre à Paul

     

    Bonjour Paul. J'ai travaillé sur mon algorithme de déplacement d'onde, et j'ai remarqué les choses suivantes:

    1/ Lorsqu'on modifie la vitesse d'un paquet d'ondes celui ci se subdivise automatiquement et produit un second paquet dans le sens inverse du déplacement.

    - ça me fait penser à l'émission d'un photon lorsqu'on modifie la vitesse d'une particule chargée (par ex rayonnement synchrotron) 

    2/ Si la vitesse dépasse c, l'algorithme diverge.

    - c : limite mathématique 

    3/ Le paramètre de vitesse du paquet d'ondes est local au paquet, il faut donc l'associer à une particule ou à un autre champ, par exemple un champ de masse. Ce paramètre devant être commun à tout l'espace du paquet d'ondes, il faut que la ''taille'' de la particule s'adapte au paquet d'ondes (cela force la dualité ''paquet d'onde-particule'').

    On peux imaginer aussi une taille fixe mais avec un effet à distance limité (ce qui complique, car cela implique encore un autre champ..) 

    En toute logique, si on prend un électron à une vitesse v1 et qu'on accélère, il doit émettre un photon à une vitesse c. Ce qui doit se faire automatiquement si on n'associe pas de masse au photon (j'ai pas encore essayé).

    4/ Si on initialise le paquet d'ondes avec une partie imaginaire nulle (qui selon moi représente une énergie cinétique), le paquet d'ondes se divise en deux paquets identiques se déplaçant en direction opposée.

    - ça me fait penser à l'émission de deux photons corrélés.

     

    Voila pour l'instant, quelques conclusions. Bonne journée. Pierre

     

    Etude d'une représentation animée du mouvement des électrons

     

    * Le 31/07/19 à 14h.29 de Pierre à Paul

     

    Cet effet est étonnant, une particule se déplace plus vite que la lumière dans un milieu ou la vitesse de la lumière est inférieure à c.

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Effet_Vavilov-Tcherenkov 

    Ici la matière se déplace plus vite que la lumière.. Je ne sais pas pourquoi la lumière se déplace plus lentement dans certains milieux. (à cause d'un champ électrique ou magnétique local ?)

    Encore une chose à étudier...ça fait beaucoup de choses...La physique est vraiment complexe..

     

    * Le 31/07/19 à 15h.02 de Pierre à Paul

     

    Encore un article intéressant.

    https://www.futura-sciences.com/sciences/actualites/physique-taille-proton-defie-physique-modele-standard-24374/ 

    Comment représenter les particules ?. Il semble que la physique actuelle ait des problèmes.

    Pour mon programme, la distribution de masse doit définir la vitesse du paquet d'onde en chaque point de l'espace. D'après l'article, on dirait que la distribution est variable suivant l’interaction avec l'électron..ça complique les choses..Pierre

     

    * Le 31/07/19 à 20h.08 de Pierre à Paul

     

    Vidéo intéressante sur les résonances:

    https://www.youtube.com/watch?v=wvJAgrUBF4w

    Et ici une vidéo d'interférences dans les fentes de Young avec des grosses molécules:

    https://www.youtube.com/watch?v=wDx8tu-iX8U

    Celle ci est importante, car il est difficile d'imaginer la molécule comme étant uniquement une fonction d'onde se diluant pour passer par les deux fentes, et ensuite se ''reconstruire'' pour se matérialiser sur un écran.

     

    * Le 31/07/19 à 21h.16 de Pierre à Paul

     

    Discussion amusante ici sur un forum.

    Il reste quelques rares personnes sceptiques avec un sens critique, et tous les autres sont sûrs de leur théorie apprise à l'école.

    https://forums.futura-sciences.com/physique/708641-fentes-de-young-molecules-complexes.html

     

    * Le 31/07/19 à 23h.24 de Pierre à Paul

     

    J'aime bien la discussion sur le forum, il y en a un qui dit qu'on pourrait faire interférer une chaise par des fentes de Young en théorie. Il faudrait juste que la vitesse soit très lente. (Il fait le calcul)

     

    Si on poursuit son raisonnement, pourquoi ne pas faire passer une personne par les franges.. Celle ci alors passe par les deux fentes en mode ondulatoire, se diffracte au niveau des fentes, ensuite interfère avec elle même et enfin se matérialise au niveau du mur.. 

    Personne ne parle de l'interprétation de Bohm, c'est dingue comme les physiciens sont formatés.

     

    * Le 31/07/19 à 23h.46 de Pierre à Paul

     

    Article très intéressant ici sur le guidage des particules.

    https://www.pourlascience.fr/sd/physique/la-dualite-onde-corpuscule-a-l339il-nu-3218.php 

    Ce modèle peut donner des idées pour coder le guidage. Dommage, je n'ai pas d'abonnement pour continuer la lecture, mais je vais m'abonner demain.

     

    * Le 01/08/19 à 00h.29 de Paul à Pierre

     

    Bonjour Pierre J'essaye de vous donner mon avis sur tous les problèmes que vous évoquez. La modification de la vitesse d'un électron produit en effet un rayonnement de freinage, identique à celui du retour d'un électron chargé sur son orbite primitive. Je pense qu'une émission dans le sens inverse du déplacement est le résultat d'une butée de l'onde sur une paroi (un miroir par exemple) analogue à ce qui se passe dans une cavité laser (lire la rubrique N°9 ''Le laser Lumière et Matière'').

     

    Par curiosité regardez sur ce site une animation d'ondes stationnaires et phénomène de résonance www.sciences.univnantes.fr/sites/genevieve_tulloue/Ondes/ondes_stationnaires/stationnaires.php

     

    Je persiste à croire que la vitesse des ondes dans l'espace est une propriété de la substance de l'espace, c'est-à-dire que la vitesse (c) est indépassable et que c'est une limite réelle et non mathématique. Cela signifie que la vitesse dans la (S.E.) ne dépend pas d'une ou des particules mais de leur quantité de mouvement (énergie). Par contre la vitesse des particules (et donc des ondes) dépend de leur milieu de propagation (plasma, (S.E.), atmosphère, conducteur électrique).

     

    L'effet Tcherenkov se produit lorsque une particule cosmique douée d'une vitesse approchant (c) pénètre dans un milieu (l'eau d'une cuve) dans lequel la lumière a une vitesse bien inférieure. Cette particule émet alors un rayonnement de freinage dans l'eau, rayonnement bleu en l’occurrence.

     

    Je n'ai pas réfléchi à la modification de la vitesse d'une particule dans un champ magnétique ou gravitationnel, (ce que vous appelez un champ de masse).

    Le ''dit photon'' est le quantum de mouvement minimum, c'est une onde de type lumière sans masse qui circule à (c). Je croit savoir qu'une particule de matière ne peut atteindre la vitesse (c).

    Je ne sais quoi penser à propos de votre remarque concernant ''l'initialisation du paquet d'ondes avec une partie imaginaire nulle''

    Les magnifiques paquets d'onde que vous m'avez envoyés sont-ils deux ''photons corrélés'' ?

     

    Laurent Sacco est un très bon journaliste, il rédige très bien. Il s'attaque ici à un problème que la physique standard des particules est loin d'avoir démêlé : l'existence dans la réalité des muons et des nucléons-quarks à base de muons. A mon sens les muons, les tauons, comme les quarks sont des ''brochettes'' d'électrons-positrons. Mais les quarks sont stables lorsqu'ils sont liés dans les nucléons alors que les autres particules sont fugaces (liées ou non).

     

    * Le 01/08/19 à 12h.11 de Paul à Pierre

     

    Bonjour Pierre. Au tout début de mon étude en 2014, je suis tombé sur le site d'Alain Boudet ''Les sons créateurs de formes'', avec de très belles images qui montrent que les ondes internes à la matière que j'ai appelé ''ondes de structure'' sont à l'origine des formes existant dans la nature. Voir ces images dans la rubrique N°1 ''Les ondes de structure de la matière'' chapitre N°3. Cette découverte a été pour moi un des déclencheurs de ma ''vocation'' ondulatoire.

     

    Ce sont les ondes de structure des molécules envoyées sur les fentes qui interfèrent sur l'écran et qui guident les molécules sur la frange d'interférence correspondant à la fente par laquelle leur molécule est passée. Les ondes de structure ont une longueur d'onde de l'ordre de la radio THF et une énergie inversement proportionnelle au carré de la distance, ce qui explique pourquoi il est difficile d'en mesurer l'existence à l’échelle macroscopique. La seule force mesurable à notre échelle est la force de la pesanteur à cause de la masse de la terre (nombre considérable d'électrons de masse élémentaire (m).

     

    Lorsque on écoule un condensat d'atomes froids sur des fentes de Young, les atomes se répartissent également suivant des franges d'interférence. Voir la rubrique N°11 ''Le laser atomique L'atome froid''.

     

    Drôle en effet la discussion sur le forum de futura. A ''mach3'' tout est permis. Un seul avion aurait suffi pour faire tomber les 2 tours jumelles de New-York. Du moment que c'est quantique, il n'y a aucun problème, ça passe en automatique, il suffit d'essayer avec des avions ayant des longueurs d'onde importantes (??) ou marchant à faible vitesse. Il n'est pas bon d'être trop ''curiosss''.

    Cordialement. Paul

     

    * Le 01/08/19 à 14h.03 de Pierre à Paul

     

    Bonjour Paul. Oui ces formes sont étonnantes. Tous les phénomènes émergents sont fascinants (il y a la même chose en informatique, notamment en IA).

     

    J'ai acheté le numéro 409 de ''pour la science'' qui parle d'un effet onde/particule visible à l’œil nu.

    https://www.pourlascience.fr/sd/physique/la-dualite-onde-corpuscule-a-l339il-nu-3218.php

     

    Si vous regarder l'image, c'est une goutte qui surfe en lévitation au dessus d'un liquide. Le liquide vibre ainsi que la goutte, ce qui crée des vagues. La goutte affecte la surface et les ondes crées affectent le déplacement. Cela ressemble beaucoup à l'idée de la planche de surf dont je vous avez parlé. Les ondes ressemblent aussi à l'électron de M.Wolff et G.Lafrenière.

     

    Dans l'article, avec ce système ils reproduisent l'expérience des fentes de Young, l'onde pilote de De Broglie (différente de celle de Bohm), et montre l'apparition d'états d'énergie quantifiés et des explication sur l'apparente non localité (effet mémoire). L'article vaut la lecture.

     

    Je suis sur que tout cela bien développé pourrait éclaircir toutes les explications extravagantes de la dualité onde particule (rétro causalité, ubiquité, univers parallèles, intervention de la conscience, et j'en passe..), mais cela implique un éther qui n'est pas politiquement correct.. (et pourtant bien plus simple). Dommage.

     

    Le modèle standard dit que l’éther n'est pas nécessaire pour faire de la physique. Je suis parfaitement d'accord, il n'est pas nécessaire pour faire des calculs probabilistes, mais peut être utilisé pour expliquer le fonctionnement fondamental (ce que le modèle standard refuse de faire, suite à une déclaration de Bohr comme quoi c'est impossible..).

    En tous cas ça me donne des pistes pour avancer dans mon programme. Bonne journée, Pierre

     

    * Le 01/08/19 à 14h.21 de Pierre à Paul

     

    Image étonnante, on peux faire un damier ! Je vais étudier cela, ça date de 1830..

     Etude d'une représentation animée du mouvement des électrons 

    * Le 01/08/19 à 17h.30 de Paul à Pierre

     

    Tout ce que vous étudiez est très intéressant. Je n'avais pas assez parcouru ce site ''pour la science''.

    J'ai lu :

    https://www.pourlascience.fr/sd/physique/les-tourbillons-quantiques-mieux-compris-11901.php

    et je constate que l'on utilise maintenant des particules pour visualiser les ondes dont on ne voulait surtout ni entendre parler ni constater l'existence dans la réalité.

     

    Vous avez pleinement raison au sujet des extravagances ainsi que pour l'éther. Cordialement Paul

     

    * Le 01/08/19 à 23h.45 de Pierre à Paul

     

    Je suis étonné car d'après Wikipédia ici, : https://fr.wikipedia.org/wiki/Vide_(physique)

    Einstein qui avait défini l’éther comme ''inutile'' jusqu'en 1920 a changé d'avis ensuite, et parle d'un espace contenant au moins un champ, cela étant compatible avec la relativité générale.

    Intéressant.

     

    * Le 02/08/19 à 17h.04 de Paul à Pierre

     

    Bonjour Pierre.

    Les questions existentielles complexes se posent le soir vers minuit, mais le matin on repart avec les mêmes notions qui sont les nôtres depuis l'école, celle qui nous a formé. Mais l'école change d'une génération à l'autre, c'est-à-dire tous les 20 ans. Entre 1905 et 1930 la physique était à un tournant, chaque université avait sa propre conception de la réalité. Einstein était en relation avec les différentes écoles, c'est pourquoi il a beaucoup varié dans ses propres idées. A cette époque, pour que tous les scientifiques puisse parler entre eux il a été convenu de s'en tenir à des notions générales pas très bien définies et souvent irréelles comme : énergie, champ, masse, charge, vide, matière, particule, onde, etc.etc. L'essentiel était que l'on puisse mesurer et chiffrer, échanger les résultats avec des unités communes (gros problème de choix, d'échelle et de concordance), parler un langage mathématique commun, établir des équations utiles à tous, etc.

     

    C'est comme cela que la physique (dite moderne) s'est construite, qu'elle a absorbé la chimie, l’électrotechnique, l'électronique, l'astronomie, etc.etc. Elle va encore pénétrer beaucoup plus notre propre vie, notre cerveau et nos relations, pour notre bien ou pour notre malheur !!!

    Je vous recommande d'y participer....pour notre bien évidemment...

     

    * Le 03/08/19 à 11h.54 de Pierre à Paul

     

    Bonjour Paul. Oui les questions existentielles c'est un peu ce qui me motive à étudier la physique.

    Essayer de comprendre dans quel monde nous vivons et pourquoi nous sommes là.

    L'utilité pratique m'importe peu.

    J'aimerais avoir une vision globale cohérente de tout cela, mais ça me semble incroyablement complexe. Peut être en changeant de point de vue, avec les bon concept ça pourrait s'éclaircir.

    J'ai commencé à m'intéresser à la relativité, au principe d'équivalence ..

     

    Une nouvelle vision doit être conforme à tellement de choses, les champs, particules, gravitation..

    Peut être tout cela peut émerger d'un modèle simple.. ou pas..

     

    Comme j'ai une approche algorithmique plutôt que mathématique, peut être qu'avec beaucoup de chance je peux trouver quelque chose d'intéressant. Si un jour j'arrive à éclaircir tout ça, je ferais un page web pour exprimer mes idées.

     

    Et après la physique, il y a un mystère encore plus insondable selon moi, celui de la conscience..

    Pourquoi nous réveillons nous chaque matin dans le même corps ? Pourquoi apparaissons nous un jour dans l'univers...?

    Qu'est ce qu'une sensation, une émotion..Est-ce juste une émergence calculatoire ? Si oui, alors une machine peut devenir consciente. La conscience peut alors être transférée.. dupliquée.. Si une conscience peut être dupliquée, alors elle ne serait plus localisée.. ? (peut être le cas pour les abeilles, car vous connaissez le sujet). Si non, alors qu'est-ce que ça pourrait être ?

    Enfin beaucoup de questions mystérieuses..

     

    Depuis hier j'essaye de comprendre les notions de relativité générale et d'espace courbe.

    L'image classique de l'espace qui se courbe comme une membrane est jolie mais ne me parle pas pour le moment. Bonne journée. Pierre

     

    * Le 03/08/19 à 18h.23 de Paul à Pierre

     

    Bonjour Pierre. Après avoir vécu sans trop vouloir me poser de questions ''existentielle'', l'étude de la physique a été, comme pour vous, à l'origine de ma nouvelle recherche de ''pourquoi et comment : la matière, la vie, la conscience, l'esprit'' ?

     

    Après 12 ans de travail, relativement important et constant, je suis arrivé à me faire une idée, assez construite, sur la matière, à partir d'hypothèses certainement trop simplistes mais relativement cohérentes et simples.

     

    L'univers est supposé infini et éternel, ce qui est difficilement admissible à un cerveau humain, mais qui reste cohérent.

    La matière est supposée construite à partir d'une seule particule élémentaire l'électron onde double (énergie et structure). C'est une sorte d'élément ''légo''de base.

     

    L'assemblage automatique des légos est plus difficile à justifier, c'est même un sérieux point d'achoppement de toutes les philosophies. Et pourtant la vie (de la naissance à la mort), son extraordinaire logiciel de construction, et même l'esprit sont à l’œuvre, sous nos yeux dans nos corps, en permanence. Les processus de structuration et d'organisation spontanés (structures dissipatives de Prigogine) restent mystérieux.

     

    Osons une comparaisons audacieuse : La vie serait possiblement issus d'une ''trinité'' : ''le père''= la substance de l'espace, ''le fils'' = le mouvement (l'onde énergétique), ''l'esprit saint'' étant cette onde transversale de structure composante de l'électron.

     

    Je n'ai rien trouvé de mieux à dire, à vous dire, dans votre recherche. Celle-ci doit rester la votre, personnelle. Si j'ai pu vous aider, j'en suis heureux, mais vous avez tout le temps devant vous pour parfaire votre propre philosophie.

     

    Les questions seront de plus en plus complexes quand on voit la vitesse de développement des techniques à base de science ( développement de la génétique, robotisation, création de chimères, accès au cerveau, etc. etc.). Cordialement. Paul

     

    * Le 06/08/19 à 10h.37 de Pierre à Paul

     

    Bonjour Paul, J'ai fait une petite pause.. Après plus d'un mois de physique intensive ça se bouscule dans ma tête, et j'ai même rêvé de certains problèmes..

    J'ai lu tellement de chose, j'avais environ 150 onglets Wikipédia ouverts. J'ai fini par tout fermer.

    Il est temps que je parte en vacances pour laisser tout ça reposer.

    Je crois que je vais me limiter à mon animation d'interférence avec les fentes de Young.

     

    Au final la théorie de Bohm, Schödinger et les fonctions d'ondes n'auront pas beaucoup servi, il faut se replonger dans la thèse initiale de De Broglie et faire une simulation qui ressemble aux ''marcheurs'', comme des gouttes d'eau à la surface d'un liquide. Je pense que la réalité ressemble plus à quelque chose de ce style, la particule étant une sorte de cailloux qui ricoche à la surface d'un liquide.

    Je reprendrai plus tard quand j'aurai repris de l'énergie ''potentielle''. Cordialement. Pierre

     

    * Le 06/08/19 à 11h.01 de Pierre à Paul

     

    J'ai repensé à votre image ''Structure et énergie de l'électron''

    C'est vrai que ce sont les notions qui permettent d'y voir plus clair.

    Par exemple la fréquence est beaucoup plus parlante que la longueur d'onde.

    Il faut reformuler les équations en terme de fréquence pour mieux les comprendre.

    Quand à l'énergie c'est la seule chose qui se conserve, car même la masse est une notion variable.

     

    * Le 06/08/19 à 15h.40 de Paul à Pierre

     

    Je vois qu'il est temps pour vous de faire une pose car l'overdose de physique vous guette. Moi aussi je suis fatigué par cette nouvelle semaine de chaleur. Je pense que la suractivité polluante de l'homme est bien responsable, en partie, de ce changement de climat, mais je reste persuadé que le soleil en suractivité est le principal coupable. En attendant la prochaine période glaciaire, la race humaine va devoir s'adapter. A priori les noirs devraient mieux résister que les blancs. Le Groenland est la prochaine terre d'immigration. Trump flaire la bonne affaire.

     

    Mais oui le hertz est, avec le mètre et la seconde, une unité fondamentale de la physique. La notion de masse (ou plutôt des masses) reste une abstraction.

     

    Nikola Tesla est et reste un génie, oublié, mais les milieux scientifiques et industriels américains se sont alliés pour le rendre fou. Ils lui ont arraché ses documents, volé ses brevets, détruit ses installations et méprisé ses idées.

    Un bon break pour vous. Cordialement. Paul

     

    * Le 18/09/2019 à 14 h.32 de Pierre à Paul

     

    Bonjour Paul. J'espère que vous allez bien. Je vous donne mon accord pour publier nos échanges par mail. Cela illustre bien les questions que l'on peux se poser lorsque qu'on s'intéresse à la physique sans être physicien.

     

    Après y avoir passé environ 4 mois à plein temps (j'ai arrêté il y a seulement une semaine), ma conception a évolué. Au début il y a beaucoup de confusion liée à l'approche principalement mathématique des explications que l'on trouve sur le web. En fait on y trouve surtout des relations entre grandeurs, mais pas des processus. Il y a aussi la relativité qui décrit les phénomènes en fonction de l'observateur, mais pas les phénomènes locaux.

     

    Ce dernier mois je suis reparti ''à la base'' en étudiant divers travaux de De Broglie. Il est un des rares physiciens qui essaye de donner des explications sur la réalité, et non uniquement une théorie prédictive. Il aurait aimé trouver un modèle purement ondulatoire des particules en tant que singularité locale d'un champ. Il a exposé les divers problèmes que cela générait.

     

    J'y ai retrouvé les objections faites sur une particule ondulatoire :

    - comment la "singularité" se maintient dans le temps sans se diluer. (dispersion du paquet d'onde sur la distance)

    - comment générer les ondes convergentes pour maintenir des ondes stationnaires. (même problème que pour M.Wolff et G.Lafrenière)

    J'ai vu qu'il existe maintenant un modèle mathématique d'ondes appelés ''soliton'' qui permet de maintenir la cohérence dans le temps. (avec certaines limites)

     

    Cependant même avec cela, d'autres problèmes se posent:

    - comment deux particules sous forme ondulatoire peuvent se déplacer à des vitesses différentes dans un même milieu ?

    - comment des ondes peuvent ''collisionner'' et produire des chocs élastiques ? (au niveau de la singularité)

    Après tout cela, je suis arrivé à ma conclusion (personnelle) : pour résoudre l'ensemble de ces problèmes il faut avoir une approche algorithmique de l'espace et considérer les particules et les champs uniquement comme de l'information.

     

    J'ai réfléchi à un nouveau modèle dont l'interprétation à l'avantage de donner une utilité à l'aspect ondulatoire des particules. J'essayerai de le mettre au point quand j'aurai du temps disponible.

     

    Comme je vous l'avais dit, je vais devoir arrêter car il faut que je me concentre sur mon activité professionnelle qui reprend ce mois ci. Cordialement. Pierre

    Bonjour Pierre.

     

    * Le 19/09/2019 à 17h.21 de Paul à Pierre

     

    Je vous remercie pour votre autorisation de publication dont votre dernier mail confirme bien l’intérêt. Notre échange d'idées représente pour mon blog une excellente conclusion, peut-être définitive. Par contre, je suis persuadé qu'un jour ou l'autre vous reprendrez les bases du projet que vous laissez en jachère.

     

    En vous remerciant pour la qualité de notre relation exprimée par l'ensemble de notre correspondance, je vous souhaite un avenir passionnant et heureux. Cordialement Paul