• Structure et énergie de l'électron

     

    PHYSIQUE DES ONDES

    ESSAI D'UNE NOUVELLE PHYSIQUE

    RUBRIQUE N° 14 Structure et énergie de l'électron

    Par Paul Bouchard Le 16/05/2016

    1) INTRODUCTION

    Depuis l'année 2007 où j'ai pris ma retraite (à 77 ans), j'essaye de conserver une activité intellectuelle et physique suffisantes pour tenter de maintenir en forme mes neurones et mes muscles. J'ai voulu par curiosité connaître l'évolution des sciences, en partant des connaissances acquises lors de mes études qui me paraissent avoir été faites ''dans une autre époque''. Et pourtant, maintenant que j'en sais plus sur certaines dérives théoriques actuelles en physique, je constate que c'est bien grâce à l'esprit d'expérimentation et aux techniques d'ingénieur (base de notre ancienne formation), que les spectaculaires progrès scientifiques des 60 dernières années ont pu être réalisé. Ces ''progrès'' ont transformé insensiblement les relations entre les hommes, et par là même la vie sociale et l'homme lui-même. La prise de conscience de cette réalité par les intellectuels, guides philosophes religieux et politiques, ainsi que les troubles, interrogations et dérapages qui s'en suivent, sont à l'origine de l'angoisse de l'avenir qui gagne nos sociétés trop bien établies dans leurs convictions et dans leurs confortables habitudes.

    En quittant la vie active, je n'avais ni l'envie ni la possibilité d'intervenir dans les débats comme intellectuel, encore moins comme guide. J'ai donc entrepris modestement un simple recyclage, en physique pour commencer. Sans savoir pourquoi, dès le début de mon travail, j'ai été ''accroché'' par la théorie que Gabriel Lafrenière expose dans son site internet ''la matière est faite d'ondes''. Simultanément, le site de Jean-Jack Micalef m'a passionné. J'ai adhéré à sa théorie de la ''substance de l'espace''. Les principes du mouvement qu'il expose, sa cosmophysique, la rigueur et la pertinence de ses critiques et démonstrations, m'ont entraîné, tous les jours un peu plus, à approfondir le domaine des relations entre la matière et l'énergie.

    Grâce aux facilités d'accès procurées par internet, j'ai pu pendant 6 ans ''labourer'' ce domaine, reprendre les textes des plus anciens scientifiques, rechercher les plus récentes thèses et remettre à jour toutes mes notions de base. J'ai créé dans mon cerveau, une ''vision'' nouvelle, intégrant les bases des deux thèses. Développant des hypothèses et une nouvelle théorie, j'ai décidé en décembre 2013, d'en commencer la publication sur un blog baptisé ''Physique des ondes. Essai d'une nouvelle physique''.

    Le fait de rédiger entraîne l'obligation de préciser ses idées, de les modifier éventuellement et de les compléter pour en faire un tout qui soit rationnel et cohérent. (6 chapitres du blog et 4 post-scriptum) Vient ensuite la nécessité de confronter cette théorie à la réalité des plus modernes expériences et réalisations ( 13 rubriques). Après avoir fait le tour du sujet, vient la crainte, surtout quand on prend de l'âge, de n'avoir plus qu'à ''radoter''. Telle est ma situation. Aussi ai-je décidé dans cette 14ème rubrique, avant de choisir un domaine d'étude différent, de revenir au départ du blog en réexaminant le cœur des hypothèses de base pour mieux les expliquer et les fixer.

    2) LA MATIÈRE EST FAITE D'ONDES

    Gabriel Lafrenière est décédé le 11 avril 2012. Depuis, son site internet n’existe plus, mais on peut toujours y accéder à ces deux adresses, où des archives ont été réalisées :

    http://web.archive.org/web/20110901222346/http://glafreniere.com/matiere.htm

    http://web.archive.org/web/20111003232422/http://www.glafreniere.com/blog.htm

    La première adresse est l'archive du site principal de Gabriel Lafrenière, la deuxième est un blog complémentaire.

    Une autre archive consiste en des extraits du site, son adresse est la suivante :

    http://www.collectionscanada.gc.ca/eppp-archive/100/200/300/gabriel_lafreniere/matiere_ondes-e/gravite.htm

    Gabriel Lafrenière était canadien, spécialiste en optique. Fréquences, résonance, interférences, polarisation, ondes stationnaires, réflexions, réfraction, phases, radiations, ombre et lumière, sinusoïdes, hyperboles, ondes et vibrations de toutes sortes constituaient son univers. Il était particulièrement axé sur la théorie de la relativité qu'il considérait comme l’œuvre majeure de Lorentz, confisquée et déformée par Einstein. Sa vive critique de ce dernier a fort déplu à la communauté scientifique qui l'a toujours boudé, au détriment de ses théories, ignorées et moquées plus que rejetées. Il faut admettre que sa manière d'aborder les problèmes lui est propre et ne supporte pas la discussion. Il devrait être classé dans la catégorie des ''génies'' dérangeants, non acceptés donc non reconnus (il le sera peut-être dans ce nouveau siècle?)

    La nature ondulatoire de la matière a été étudié précédemment par différents scientifiques, depuis Louis de Broglie et notamment , entre 1986 et 2000 par Milo Wolff. Je cite ci-dessous des extraits de sa biographie dont j'indique la référence :

    << Wolff a découvert que deux de ces lois, la longueur d'onde de Broglie qui fonde en partie la théorie quantique, et l'augmentation de la masse relativiste de la relativité restreinte d'Einstein, peuvent être déduite de la seule équation qui décrit le décalage Doppler de deux ondes sphériques permanentes se déplaçant, l'une par rapport à l'autre . Ainsi Wolff a été la première personne (à ma connaissance) à avoir réalisé et confirmé la nature fondamentale de la structure sphérique ''Standing Wave'' de la matière, en unissant mathématiquement pour la première fois, des parties importantes de la théorie quantique et de la relativité. >>

    http://www.QuantumMatter.com (site Web de Milo Wolff sur la structure ondulatoire de la matière)

    << L'électron est composé d'ondes sphériques qui convergent vers le centre, puis vers  l'extérieur et deviennent des vagues. Les deux vagues forment une onde stationnaire dont les sommets et les nœuds sont comme les couches d'un oignon. L'amplitude de l'onde est un nombre scalaire comme une onde quantique, pas un vecteur électromagnétique (une onde mathématique d'énergie). The Wave-Center est l'emplacement apparent de l'électron «particule». >>

    http://www.spaceandmotion.com/Wolff-Wave-Structure-Matter.htm&prev=search

    Gabriel Lafrenière a publié « La Matière est faite d'Ondes » en l'an 2002. Je le cite :

    << J'avais auparavant publié « La Théorie de l'Absolu » en langage volontairement obscur, parce que j'avais à cœur de démontrer que, s'il est vrai que la matière est faite d'ondes (ce n'est pas ma découverte, mais j'ai été le premier, et je suis toujours le seul à en faire la preuve), les transformations de Lorentz sont absolues et la Relativité ne peut donc être que le résultat d'une illusion. >>

    << En juillet 2003, j'ai découvert le site de M. Milo Wolff. J'ai tout de suite noté que son électron (qu'il a présenté dès 1986, mais qui n'est pas mobile) comportait un noyau central dont le diamètre faisait une onde entière, et non pas la demi-onde classique des ondes stationnaires. J'ai donc voulu vérifier ce prodige au moyen de mon algorithme. >>

    << M. Jocelyn Marcotte est un ingénieur diplômé en 1989 de l’école Polytechnique (Université de Montréal) en génie électrique. C'est manifestement un as de l'informatique, car il a tout de suite réussi à prendre en charge le langage de programmation FreeBASIC et à mettre en place l'électron statique de M. Milo Wolff dans son propre Éther Virtuel en trois dimensions. >>

    << L'Éther Virtuel est une invention géniale de M. Philippe Delmotte, faite en juin 2005. Il s'agit d'un médium virtuel informatique capable de reproduire n'importe quel phénomène ondulatoire.... On pourrait penser que l'algorithme de base qui réalise cette performance est très complexe, mais non. Croyez-le ou non, il ne comporte que trois lignes de programme ! Vous pouvez d'ailleurs examiner cette pure merveille : elle est montrée dans toute sa splendeur en une seule dimension dans le programme Ether04.exe et son code source FreeBASIC Ether04.bas. >>

    << M. Wolff n'a jamais appliqué l'effet Doppler ni les transformations de Lorentz (c'est la même chose) à son électron, qui ne peut donc pas bouger. C'est pourquoi je tiens à rappeler que je suis le découvreur de cette onde « stationnaire mobile », que j'ai appelée l'Onde de LaFrenière dès l'ouverture de mon site Internet en septembre 2002. J'ai aussi été le premier à montrer l'évolution de ses ondes, en 2003, même si je n'étais pas en possession des équations qui en rendent compte. En fait, le recours au principe de Huygens est beaucoup plus valable, important et satisfaisant, parce que cela constitue une preuve irréfutable. Cette onde présente toutes les propriétés d'un électron. >>

    Structure et énergie de l'électron

    << Cette onde est un électron. L'image est tirée du programme sur l'Éther Virtuel en 3-D conçu par M. Jocelyn Marcotte. >>

     

    Sur internet, cette image est animée, et le résultat est étonnant. Cela pourrait représenter l'électron au repos, il aurait en coupe la forme d'un disque, et, en relief, l'animation montre les ondes transversales tournantes qui lui donnerait l'aspect d'une sphère (voir l'image dans l'espace).

    Dans les chapitres ''les électrons'' et ''les ondes stationnaires'' de son site principal que je vous recommande de lire, Gabriel Lafrenière, expose les caractères ondulatoires de son ''onde stationnaire mobile'' ( l'électron). En voici de très courts extraits :

    << Cette étude affirme que la matière est faite exclusivement d'ondes stationnaires sphériques et que l'univers matériel est composé uniquement d'éther. Cela confirme et explique les prévisions de Lorentz, qui conduisent à la Relativité.... il serait utile de rappeler qu'il existe aussi des ondes stationnaires circulaires. Les "ronds dans l'eau" obtenus à l'aide d'un grand cerceau en sont un bon exemple, mais leurs propriétés sont différentes....Grâce au principe de Huygens, j'ai pu retracer la configuration de ces ondes stationnaires circulaires. Je répète que le diamètre du noyau central mesure trois-quarts d'onde, et non l'onde entière des ondes sphériques. >>

    << Le réseau d'interférences entre deux électrons ou positrons se transforme en puissant champ de force, car il est fait d'ondes stationnaires qui sont à leur tour amplifiées par les ondes de l'éther, de la même manière que celles de l'électron. Ce réseau doit être reproduit en tenant compte non seulement de la distance, mais aussi des deux spins et donc des quatre phases propres aux électrons et aux positrons. Mais surtout, il est capital d'ajouter le quart d'onde indiqué ci-dessus. >>

    Structure et énergie de l'électron

    << Le champ de force « biconvexe » est fait d'ondes stationnaires hyperboliques elliptiques. Chaque section ressemble à la lentille diffractive et devrait donc produire une tache d'Airy de part et d'autre. La période sur l'axe varie en fonction de la distance et du spin des deux particules impliquées. >>

    Ces quelques extraits animés du site de Gabriel Lafrenière peuvent, je l'espère, donner envie d'étudier plus avant son site et son blog. C'est l’œuvre d'un ''obsédé'' des ondes, dont les raisonnements sont assez difficiles à suivre, car il sont ''assénés'' de manière péremptoire. On peut comprendre que les ''physiciens des particules'' n'en supportent pas la lecture. J'y ai puisé une grande partie de mes convictions.

    3) LA SUBSTANCE DE L'ESPACE

    Le deuxième site internet qui, dès le départ à retenu mon attention, est celui de Jean-Jack Micalef ''les nouveaux principes de physique et de métaphysique''. Sa présentation a été revue, améliorée et complétée plusieurs fois. La dernière mouture comporte les rubriques suivantes :

    1.  PHYSIQUE GÉNÉRALE ET PHYSIQUE DES PARTICULES

    2.  COSMOPHYSIQUE

    3.  CRITIQUES

    4.  PREUVES

    5.  MÉTAPHYSIQUE

        VI   LIEN vers ''L'OBS'' Actualité Blog.  Position sur la physique contemporaine 

    Ce qui m'a dès l'abord attiré sur ce site, c'est son exposé des principes du mouvement.

    Je le cite :  << La physique traite traditionnellement du réel dans sa matérialité, c’est-à-dire des objets physiques individués et de leurs mouvements. Dés lors avant toute mesure, il importe de définir a priori ce qu’est le mouvement, à quelles conditions celui-ci est possible et quels objets physiques reconnus comme tels sont susceptibles de se mouvoir et de transmettre ce mouvement. Quatre principes peuvent être posés dont il faudra montrer leur nécessité et en déduire toutes les vérités qu’ils impliquent: >>

    Il applique ensuite les principes du mouvement qu'il vient de définir, à celui des ondes dans l'espace, (dans le supposé vide de l'espace). Comme il s'agit des ondes de type lumière et des électrons que j'ai précédemment étudiés et qui ne peuvent se propager que dans un milieu existant, j'ai adopté, à la place de l'ancien éther, cette inconnaissable ''substance de l'espace'' nommée et définie par J.J.Micalef, dont les propriétés expliquent à la fois la nature des ondes, leur vitesse et leur mouvement dans l'espace ainsi que la quantification de leur énergie.

    D'autre part j'ai été séduit par l'exposé de ses idées sur la ''cosmophysique'' et notamment par sa conception de la création permanente de la matière dans les étoiles, et du caractère infini et éternel de l'univers.

    Je l'ai contacté pour lui dire mon admiration pour la justesse, que j'estime, de ses raisonnements et la qualité de sa rédaction. Je lui ai fait part de mes idées sur l'électron, onde stationnaire mobile de type lumière structurée par une onde transversale magnéto-gravitationnelle. Mais, sur ce point, il rejette mes conceptions et s'en tient à une ''matérialité'' des particules qui, si j'ai bien compris, consisterait en une ''densification'' de la substance de l'espace (contenant) qu'il appelle ''prématière'' (contenu). Le passage de la prématière à la matière se fait, en plusieurs temps (transitions), création d'une onde de choc dans la prématière entraînant celle d'ondes de type lumière (photons), rupture d'état entre photon et matière. Les particules de matière faites DE substance de l'espace, circulent DANS leur élément. J'imagine l'analogie avec un poisson (fait d'eau) qui circule dans l'eau. Le processus proposé me paraît un peu complexe , je laisse donc la parole à J.J. Micalef :

    << En définitive, si le photon est bien le corpuscule premier, sa masse pourtant ne peut se maintenir qu’en mouvement. Pour exister comme matière permanente, il faut qu’il perde son mouvement sans pour autant perdre sa masse. La définition du photon se donne comme immédiatement contradictoire avec celle de la masse permanente dite au repos..Mais comme le photon est associé à son onde, on doit constater que cette matière photonique ne peut être que portée par le mouvement de l’onde. >>

    << C’est l’appartenance du photon à l’onde qui contraint celui-ci à n’exister qu’en conformité avec les propriétés de l’onde, dont celle de ne pouvoir se déplacer qu’à la vitesse absolue (c). On voit ici que ce n’est pas l’absence de masse de matière qui contraint le photon à n’exister qu’à la vitesse (c), mais son appartenance intime à l’onde. >>

    << Le choix d’un néologisme : la matière-en-mouvement pour désigner la substance constitutive du photon montre bien l’embarras dans lequel nous sommes puisque nous ne pouvons utiliser le terme de masse, réservé à la matière. Il présente cependant l’avantage de bien signifier que la « matière » du photon ne peut exister qu’en mouvement. >>....

    << Si le photon est donné comme corpuscule premier, sa création doit avoir pour cause un changement de l’état de l’onde sans que pour autant nous puissions isoler le photon de son onde associée. Dès lors l’augmentation de la masse-en-mouvement en proportion de l’énergie doit correspondre un accroissement de la quantité d’ondes de prématière. Il en va de même pour la prématière et on doit considérer qu’il existe un seuil d’énergie à partir duquel la compression des ondes suscite un brusque enroulement de la crête de l’onde, ainsi qu’on peut le constater dans les milieux ondulants. Le photon apparaît comme le résultat d’une diminution consécutive de la longueur de l’onde. Il s’ensuit que si le photon a pour origine la compression des ondes de prématière, il ne saurait exister à toutes les énergies, ce qui permet de distinguer assez nettement les deux états : celui de l’onde et du photon corpusculaire. >>

    4) LES 6 CHAPITRES ET POST-SCRIPTUM DU BLOG PHYSIQUE DES ONDES

    C'est le corps de mon blog qui expose les hypothèses de base, les développe, les assemble et examine leurs concordances. Voici à nouveau le sommaire.

    1.   Introduction............................... Qui suis-je et méthode de travail.

    2.  La substance de l'espace............. Thèse de J.J. Micalef.

    3  .Les ondes de type lumière............Les ondes énergétiques, non électromagnétiques.

    4.  La matière, l'atome, l'électron......Le corps de la thèse et l'exposé des hypothèses de base.

    5.  La création de la matière.............Formation de l'électron dans le plasma des étoiles.

    6.  Le sens de la vie............................Relations entre la matière, la vie et l'esprit.

    Post-scriptum N°1.............................Les constantes universelles, les unités fondamentales.

    Post-scriptum N°2.............................Les structures dissipatives et l'énergie.

    Post-scriptum N°3.............................Aux origines de la métaphysique.

    Post-scriptum N°4.............................Les ondes de structure.

    5) LES RUBRIQUES  COMPLÉMENTAIRES

    Dans ces rubriques, nous avons confronté la thèse exposée dans la ''physique des ondes'' à la réalité des plus modernes découvertes et expérimentations réalisées en physique. Nous avons utilisé pour cela les thèses, comptes-rendus et conférences que nous avons pu trouver sur internet, (seulement en français malheureusement). Voici la liste des sujets traités :

    Rubrique N°1................................Les ondes de structure de la matière.

    Rubrique N°2................................Microscopes utilisant les ondes de structure.

    Rubrique N°3................................Supraconducteurs et diamagnétisme parfait.

    Rubrique N°4................................Ondes et matière. Un historique (1750-1930).

    Rubrique N°5................................Les dimensions de ''notre'' monde.

    Rubrique N°6................................Propagation des ondes sonores dans l'air.

    Rubrique N°7................................Propagation des ondes dans l'espace.

    Rubrique N°8................................Résonance en cavité. Le laser sonore.

    Rubrique N°9................................Le laser. Lumière et matière.

    Rubrique N°10..............................L'énergie et la chaleur dans l'atome.

    Rubrique N°11...............................Le laser atomique. L'atome froid.

    Rubrique N°12..............................La mesure en physique quantique.

    Rubrique N°13..............................L'énergie de liaison du noyau atomique.

    Rubrique N°14..............................Structure et énergie de l'électron

     

    6) NATURE ET STRUCTURE DE L’ÉLECTRON

    Le résumé qui va suivre reprend, sans détails et justifications, l'essentiel des hypothèses qui sont à la base de notre blog et qui concernent la création et la structure de l'électron. Considérant l'électron comme la particule élémentaire de toute matière, nous compléterons nos hypothèses de base en exposant notre conception de l'atome et en décrivant la structure proposée pour les nucléons. Dans le chapitre suivant nous parlerons des échanges énergétiques intra et extra atomique dont l'électron, en tant qu'onde stationnaire mobile, est un intermédiaire moteur. Pour réaliser ce résumé, je vais utiliser différents extraits du blog, car, à sa relecture, je ne ressens aucun besoin de modifier les formulations adoptées lors de leur rédaction.

    61) Création et structure de l'électron

    << Dans la présentation de la théorie qui va suivre, je réserve la notion de ''corpuscule'' de matière à l'atome et celle de ''particule'' élémentaire à l'électron. Je suis l'idée de Gabriel Lafrenière dont j'ai mentionné le nom dans mon introduction : l'électron est une "onde stationnaire mobile". Je pense que c'est la véritable "onde électromagnétique" qui aurait pour origine l'interférence d'une onde longitudinale de type lumière avec un champ magnétique transversal (avec des ondes de type gravitationnelles). >>

    << L'électron pourrait être la particule de base de la matière, formée dans le plasma des disques d'accrétion des étoiles en formation. La "fabrique" d'électrons se ferait par paire ressemblant à deux "vortex", l'un tournant dans le sens horaire (l'électron -), l'autre dans le sens anti-horaire (le positron +) . L'origine de ce phénomène pourrait être l'action d'une onde lumière de choc (de fréquence très élevée), passant de la substance de l'espace (vitesse (c) ) à celle du plasma. Le résultat serait analogue à celui d'un bang supersonique ou à celui d'une étrave de bateau. Les deux ondes ainsi crées (en forme de cônes) le sont "dans et de "substance de l'espace, elles possèdent l'énergie des ondes lumière (diminuée par la résistance du plasma). Elles seraient soumises au très important champ magnétique du disque d'accrétion qui leur fournit une nouvelle énergie de rotation qu'elles conservent. Faisant partie de la substance de l'espace elles en possèdent les propriétés, à savoir la quantification de leur deux énergies et la vitesse maximum. >>

    << Ainsi pourraient naître, à l'intérieur des deux "ondes-mères", deux séries de particules élémentaires, électrons et positrons, possédant chacune (sous forme d'onde) le quantum d'énergie élémentaire fourni par l'onde lumière longitudinale, et "l'énergie élémentaire de masse m" donnée par l'onde magnétique tournante transversale. Celle-ci "rigidifie" la première et donne aux particules une nouvelle nature, celle de "particules élémentaires de matière". >>

    << La particule élémentaire que je propose serait donc constituée par une onde lumière en forme de cône plus ou moins pointu (et "compact") suivant la fréquence de l'onde lumière, et mis en rotation par l'énergie du champ magnétique transversal comme je l'ai indiqué. Le cône de l'électron mis en mouvement ne serait pas un tourbillon (comme une tornade), mais une onde en rotation "de et dans" la substance de l'espace. De ce fait, l'énergie de rotation est toujours quantique, l'onde lumière est "découpée" en quanta par cette onde rotationnelle et la vitesse de rotation de cette onde gravitationnelle est limitée par la vitesse de l'onde lumière. Il en résulte que, dans l'espace,"l'effet de masse" est proportionnel à la vitesse de la particule. Ainsi l'électron, particule élémentaire, relie en son sein le quantum de mouvement (énergie de l'onde de type lumière), le quantum de moment magnétique (onde transversale) et la substance de l'espace (qui constitue à la fois l'une et l'autre onde). >> ...Autrement dit << L'électron est donc une onde stationnaire mobile qui met en rapport, avec la constante "h" de Planck, le quantum de mouvement "de et dans" la substance de l'espace, la charge élémentaire "e", le quantum de moment magnétique et la masse élémentaire "m". >>

    62) Création et structure des nucléons

    << Imaginons maintenant comment les atomes et leurs nucléons ont pu se former à partir des deux particules élémentaires (+et-) nées comme nous l'avons vu. De leur deux "lignes de fabrication" conjointes sortent en chaîne, quantum par quantum, c'est à dire particule par particule, les électrons(-) et les positrons(+). Il serait possible de comparer ces "lignes" à des "brochettes" de particules dont les "cônes d'ondes lumière" sont orientés dans le même sens. Ces lignes de particules sont très fortement reliées par leurs ondes qui tournent, dans le même sens pour une même ligne et en sens contraire entre les deux lignes. >>

    << Il est bien présomptueux de vouloir décrire ce qui se passe exactement dans le berceau de ces étoiles naissantes, mais il est possible de penser que les lignes de "brochettes" de particules (+et-) précédentes resteraient jointes dans un même nucléon, et que 918 positrons et 917 électrons, soit une "masse" de 1835 "m" élémentaires, formeraient ainsi un proton, auquel pourrait se joindre un électron parmi ceux qui circulent en toute indépendance dans les rayons cosmiques, ceux qui émanent en permanence des étoiles (du soleil en particulier). Ainsi se formerait l'atome d'hydrogène, (1 proton + 1 électron) celui qui est précisément le premier et principal élément des étoiles, c'est aussi son carburant puisque c'est la fusion de deux atomes d'hydrogène qui est à l'origine de la "nucléosynthèse". >>

    << Pourquoi une masse de 1835 "m" pour le proton? Sans doute parce que, liée au (m) de son électron orbital, c'est la configuration nécessaire pour qu'un proton soit "stable". Il est probable que la masse de (1835+1)(m) soit la masse à la fois minimum et maximum pour la stabilité d'un nucléon. Le neutron serait constitué de 918 positrons et 918 électrons (donc 1836 "m") mais il est très instable seul. Par contre, associé aux protons, il les stabilise et permet d'obtenir des atomes plus lourds et donc la gamme complète des 92 éléments chimiques stables. Dans un atome l'association entre un proton et un neutron se ferait par ligne de "brochette" (+-)(+-) (en ligne ou en carré). Dans chaque nucléon du noyau d'un atome, chacune de ces "brochettes" d'ondes stationnaires serait constituée par l'ensemble des 918 particules ayant la forme de disques empilés tournant dans le même sens. Au repos dans les nucléons, leur forme est donc celle d'un disque d'onde et non plus d'un cône. L'énergie de l'onde lumière des particules est alors minimum. Pour une configuration du noyau atomique donnée et pour un atome au repos, les liens entre particules sont maximum, de même que la stabilité de l'ensemble. >>

    7) ÉNERGIE DE L’ÉLECTRON DANS ET HORS DE L'ATOME

    On voit que les considérations précédentes sur la structure et l'état physique de la matière nous conduisent invariablement à évoquer ''l'énergie'' des particules. En effet, à cette échelle, la fréquence des rayonnements qui transportent l'énergie, est le seul élément qu'il est facile d’appréhender (de mesurer), ce qui permet déjà une connaissance précieuse des phénomènes. L'énergie est la propriété exclusive des ondes lumière. Celles-ci, qui sont donc les composantes énergétiques des électrons (ondes électromagnétiques), se trouvent être aussi les messagères énergétiques, non magnétiques, qu'ils émettent et qui circulent dans la substance de l'espace, d'un électron à l'autre, (d'une matière à une autre). Toute matière (animée ou non) qui les reçoit est sensible aux vibrations de ces ondes (lumière, chaleur) et les incorpore à son état physique énergétique.

    71) Énergie des électrons à l’intérieur de l'atome

    Sur le plan énergétique, le rôle de l'électron dans l'atome est donc de réceptionner, transporter, émettre de l'énergie, celle que les hommes utilisent et appellent : énergie chimique, mécanique, thermique, rayonnante et aussi électrique si l'électron lui même quitte l'atome. Toutes ces formes d'énergie qui peuvent se transformer entre elles ont donné lieu à différentes branches de la physique. A l'intérieur de l'atome, c'est le domaine de la physique dite quantique, car l'énergie élémentaire de l'électron (sa charge (e)) est proportionnelle au quantum d'énergie qui est le ''quantum d'action minimum'' propriété de la substance de l'espace. Le coefficient de proportionnalité est (h), cette si importante constante de Planck.

    << La notion de "charge" est une notion abstraite que l'on peut assimiler à un "nombre d'électrons de charge élémentaire (e)". La charge négative d'un électron est: e = 1,602.176 coulomb avec 19 zéro devant, celle positive d'un positron est la même. Il faut bien comprendre que, d'après la thèse que j'expose ici, cette notion de charge concerne en fait l'onde gravitationnelle (onde de masse de cet électron) et non l'onde de type lumière. Il est important également de dire que cet onde de type lumière de l'électron possède une énergie proportionnelle à celle de la fréquence de l'onde lumière qui l'excite (en tenant compte de la constante de Planck (h)). Cette excitation s'est faite par mise en résonance des ondes et en tenant compte des paliers de quanta. Je pense que ces paliers (orbites et sous orbites) peuvent être considérés comme des harmoniques multiples de la fréquence de l'électron "au repos" sur son orbitale fondamentale. >>

    Cette notion de fréquence (qui est l'inverse de la longueur d'onde), est donc essentielle lorsque il est question d'énergie. Planck et hertz sont les véritables précurseurs de la physique moderne et de la physique quantique qui est en réalité une physique des ondes et non des particules. L'électron est LA véritable onde électromagnétique (électrique et magnétique) de base de la matière.

    72) Rôle énergétique des électrons hors de l'atome

    << Tout corps de matière est donc neutre au repos, mais ce n'est pas le cas lorsque il est soumis à l'action d'une onde de type lumière qui agit sur les électrons des atomes avec lesquels elle est en contact (ceux de la surface). Rappelons que cette onde est en provenance d'un autre atome et que son énergie est proportionnelle à sa fréquence. Par mise en résonance, cette onde transmet cette énergie quantum par quantum à l'électron, ce qui augmente l'énergie de ce dernier (énergie de type lumière). Celle-ci est variable depuis la position de l'électron au repos qui est à l'état dit fondamental (orbitale de plus faible énergie au plus près du noyau) jusqu'à son excitation maximum dans l'atome lorsque il atteint l'orbitale dite de valence (la plus éloignée du noyau). L'électron monte en puissance (en fréquence), le cône de l'électron est alors plus "pointu", la particule est plus "dure". Il passe d'une orbitale à l'autre en suivant les règles déterminées par la physique quantique et celles qui concernent la constitution chimique et les propriétés de son atome. Il peut même s'échapper de l'atome, devenir électron libre et se marier à un autre atome, ou marier son atome à un autre, suivant les affinités de fréquence. S'il retourne auprès de son noyau, il rend ses quanta (son énergie) sous forme d'onde lumière, de fréquence correspondante, infrarouge (chaleur) ou lumineuse (son spectre lumineux est la signature de la constitution de son atome). >> (blog chapitre 431)

    L'électron libre possède un rôle essentiel lorsque il se trouve ''lâché'' dans un milieu ''conducteur'', comme un métal ferromagnétique ou un électrolytique ou une masse d'air chaud et humide (un nuage). Par exemple :

    << . Relions par un métal conducteur deux corps dont les atomes ont en surface des électrons libres superficiels disponibles. Leur nombre peut être différent (charge différente), ou leur énergie (fréquence de l'onde lumière différente), ou les deux. On dit alors que leur "tension" est différente et qu'ils ont une "différence de potentiel électrique" que l'on exprime en volt. Si cette tension est suffisante, il s'établit entre eux un courant électrique dont l'intensité (débit de ''charges'') s'exprime en ampère. Ce sont les électrons(-) du corps le plus chargé qui rejoignent le corps le moins chargé (il est donc regrettable que le sens théorique du courant ait été choisi dès l'origine à l'inverse). En fait, dans le conducteur, les électrons se mettent en ligne, les uns derrière les autres et "se poussent" plus qu'ils ne se déplacent. A l'inverse, les protons des noyaux qui sont chargés positivement restent en place et, dans le conducteur, ils s'orientent en sens inverse des électrons. On dit alors que les électrons, dans leur mouvement, ont "polarisé" le conducteur. >> (blog chapitre 433).    De même, les atomes des corps qui ont perdu des électrons ne sont plus ''neutres'' car ils sont polarisés positivement par les protons de leurs noyaux.

    8) L'ONDE DE STRUCTURE DE L’ÉLECTRON

    81) Électron libre

    Nous voici donc face à des électrons qui ''bougent'' et qui, par leur mouvement, créent autour d'eux un champ électromagnétique. Ce n'est pas forcément pour eux une nécessite de ''s'agiter'' comme le suppose la physique théorique standard qui voit leur montée en énergie comme une ''agitation'' supplémentaire. D'ailleurs pour la physique des particules, tout ''bouge'', même les atomes et les molécules sont aussi des disciples de Monsieur Parkinson, car il faut, pour cette physique standard, trouver une explication ( phonons et gravitons) aux ''champs'' créés par une matière constituée de particules et non ''faite'' d'ondes. Grâce à notre hypothèse sur la nature de l'électron, onde double, il est possible de comprendre le rôle joué par la composante magnéto-gravitationnelle de l'électron, celle que nous avons appelé ''onde de structure''.

    Cette onde de structure nous apparaît également sous la forme énergétique puisque les deux ondes sont liées dans l'électron ( c'est la même onde qui tourne). Les phénomènes correspondant sont dit ''de masse'', car leur importance est proportionnelle au nombre d'électrons en jeu (au nombre de ''m''). Nous constatons que cette proportionnalité au nombre d'électrons est identique à ce que nous avons vu lorsque il a été question de ''charge'' élémentaire (e) au chapitre précédent qui traitait de l'énergie électromagnétique. Le lien entre les deux notions de ''masse structurelle et de charge énergétique'' est réalisé au niveau élémentaire de l'électron par le fait qu'il s'agit de deux mouvements de la même onde. Il faut même parler de trois mouvements puisque il existe deux charges (+ et -), positrons et électrons qui tournent sur eux-mêmes (vortex) en sens contraire dans le sens de leur mouvement.

    Le lien de l'onde énergétique et de l'onde transversale de structure est manifeste pour les électrons libres dans un conducteur électrique qui transmet justement cette force ''électromagnétique'' qui est la véritable propriété des électrons (et non celle des ondes de type lumière). Mais ce qui ''fait'' cette force, c'est le ''débit'' d'électrons (des charges) et non l'effet de ''masse'', car la messe élémentaire (m) de l'électron est faible. D'ailleurs cette notion de ''masse'' a une signification au niveau macroscopique, (pour l'homme) mais pas au niveau quantique.

    Le phénomène principal correspondant à cette onde transversale est le ''lien structurel'' des particules qui crée le noyau, l'atome, la molécule, le corps de matière, les entités terrestres et célestes. On parle alors d'attraction et de répulsion entre les particules (électrons(-) et positrons(+)), suivant le sens de rotation de leurs ondes, de magnétisme et de polarisation pour les corpuscules et la matière, de gravitation pour les corps célestes.

    82) Noyau atomique

    L'onde de structure (onde dite de masse) a donc un rôle important en électromagnétisme malgré la faible masse de l'électron. Mais nous savons que la presque totalité de la ''masse'' de l'atome se trouve dans le noyau qui, d'après nos hypothèses, est une concentration importante d'électrons et de positrons qui sont fortement reliés entre eux précisément par leurs ondes de structure (force de liaison dite forte).

    Une des lois principales de la nature étant la recherche de la stabilité et de l'équilibre énergétique, cette loi s'applique particulièrement aux noyaux atomiques qui constituent la masse réelle, et la stabilité, de l'atome. C'est donc la notion de ''lien'' qui est le caractère essentiel de l'onde de structure du noyau atomique. Nous avons vu que la fréquence de rotation de cette onde de structure était celle des ondes radio THF, limite micro-ondes. Nous avons constaté également qu'il est possible, grâce au phénomène de résonance avec un champ magnétique extérieur à cette même fréquence, de modifier profondément l'état physique de l'atome (atome froid).

    Nous avons même pensé qu'il serait possible, par ce moyen, d'agir sur ses nucléons en les fusionnant sans avoir recours à des températures proches de celles des étoiles, afin d'obtenir un dégagement d'énergie par économie de ''frais énergétiques'' de structure (comme pour une fusion d'entreprises). Le procédé actuel de fission des noyaux par bombardement de neutrons et décomposition des nucléons est une méthode ''barbare''. Elle consiste à détruire le lien (l'onde) qui ''structure'' un gros noyau atomique (fragile parce que très gros). Électrons et positrons relâchent alors leur énergie potentielle qui était confinée dans la structure des nucléons, avec le risque d'une réaction en chaîne et la création de débris dit ''radioactifs'', matière en décomposition lente et rayonnements très énergétiques.

    Un procédé de retraitement d'une partie de ces déchets par des procédés chimiques et mécanique pour obtenir un nouveau produit recyclable (MOX) a été mis au point par Aréva. Il est peu rentable et il laisse de coté des déchets radioactifs dont on ne sais que faire. Par un procédé de structuration magnétique serait-on capable de traiter les ''débris'' radioactifs afin de recomposer des nucléons ''en bon état'' ? Pourrait-on récupérer également les rayonnements ionisants dangereux qui émanent de ces débris ? Ce serait un extraordinaire soulagement pour tous les pays qui se sont lancés dans l'aventure de la fission de l'atome.

    9) CONCLUSION PROVISOIRE DU BLOG

    Entre le rêve et la réalité il y a un abîme que le cerveau humain parvient souvent à franchir, sur un fil même ténu, à condition qu'il soit arrimé sur des bases solides. Je ne sais si celles que j'ai exposé dans de ce blog peuvent résister à l’expérimentation et même à la discussion, étant donné que, depuis début 2014, date de la première présentation de mes idées sur internet, je n'ai obtenu aucun commentaire. Il faut dire que ce blog est un peu confidentiel et que je n'ai pas cherché à le faire connaître. Par chance je n'ai subi aucune injure, mais je n'ai eu aucune critique non plus, de celles qui obligent à progresser. Pourtant, à ce jour, 16/05/2016, mon blog enregistre 5628 visites, et actuellement une moyenne de 25 par jour. Faut-il penser que ces idées sont tellement géniales que personne n'ose les discuter, ou qu'elles sont tellement ridicules qu'elles ne méritent pas une parole, ou qu'émettre des critiques plus conforme à la norme théorique pourrait s'avérer imprudent, au cas où la physique des ondes soit mieux prise en considération ??

    En ce qui me concerne, je ne pense pas pouvoir apporter des idées nouvelles sur ce sujet, ni expliquer mieux les idées de base de mon étude. Je suis donc contraint de rechercher un nouveau domaine de réflexion pour maintenir mon cerveau en état de fonctionnement et éviter le ''bore-out'' du retraité. La sociologie peut-être ? En attendant, et pour illustrer l'esprit de ce blog de ''physique des ondes'', je joint une image que m'a adressé sur facebook un groupe de jeunes penseurs contestataires avec lequel je suis en relation, (dont je fait partie !!).

    Structure et énergie de l'électron